Les news de la semaine: Donkey Kong

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Après le King Kong de Peter Jackson, on reboote le grand singe avec ce nouveau Kong: Skull Island! Jordan Vogt-Roberts, qui a bossé sur quelques séries comme Death Valley ou You’re the worst, s’attaque à son premier blockbuster, qui compte dans ses rangs quelques belles pointures: Brie Larson (la future Captain Marvel), Tom Hiddelston (Loki chez Thor), Toby Kebbell (Fatalis dans Les 4 Fantastiques), Samuel L. Jackson (Nick Fury chez les Avengers), John C. Reilly (un des agents du Nova Corps dans Les Gardiens de la Galaxie), Shea Whigham (le boss de Peggy dans Agent Carter)… Ca démontre vraiment à quel point les super-héros sont devenus la norme!!! Et on a quand même quelques acteurs qui n’ont pas (encore) joué de héros Marvel: John Goodman (The big Leboswki), Corey Hawkins (qui est quand même le remplaçant de Jack Bauer dans le spin-off 24: Legacy).

En tout cas, la bande-annonce de ce nouveau film est vraiment prometteuse, et on s’attend à un déluge d’action géré de manière bien impressionnante. Et pour la petite histoire, toujours pour faire comme Marvel, ce Kong: Skull Island fait partie d’un univers partagé avec le Godzilla de 2014. Suivront Godzilla 2 en 2019 et Godzilla vs. Kong en 2020! Ca devrait être épique!


 

La défection de Tim Miller du projet Deadpool 2 reste pour moi une très mauvaise nouvelle. Mais il faut maintenant voir l’avenir, et Ryan Reynolds a rapidement rebondi afin que cette séquelle puisse se faire dans les meilleures conditions possibles. Il a en effet entériné David Leitch au poste de metteur en scène, ce qui est plutôt de bon augure. Leitch est en effet connu pour l’excellent John Wick, co-réalisé avec Chad Stahelski. Et l’homme ne manque pas d’une certaine expérience, puisqu’il a été réalisateur de seconde équipe sur de très nombreux films, comme Midnight Meat Train, Wolverine: le Combat de l’Immortel, Jurassic World ou Captain America: Civil War. Et il est également un cascadeur et chorégraphe de cascades reconnu depuis les années 90 et 7 à la Maison! Blade, Fight Club, Spy Game – Jeu d’Espions, Ocean’s Eleven, Mr. & Mrs Smith (il doublait à chaque fois Brad Pitt), Daredevil (le film, eh oui!), X-Men: Origins: Wolverine (eh oui, il avait donc déjà bossé avec Wade Wilson ;-), Tron: l’Héritage, Jason Bourne: l’Héritage… On espère que les mauvaises nouvelles concernant Deadpool 2 sont derrière, et que la nouvelle équipe en place nous livrera une suite tout aussi ravagée que le 1er!!!

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Le casting de Black Panther n’arrête plus de s’étoffer, et cette semaine c’est Angela Bassett qui vient compléter la famille royale du Wakanda! L’actrice que l’on a vu dans Malcolm X, Tina (ou elle jouait Tina Turner) ou encore American Horror Story, va en effet incarner Ramonda, la mère adoptive du prince T’Challa, alias Black Panther.

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Une nouvelle image pour Logan! Wolverine est désormais indissociable de la jeune Laura Kinney alias X-23, et le film en sera d’autant plus épique!

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Morgan Spurlock, le réalisateur de Super size me, revient avec un nouveau documentaire s’annonçant très original. Il va en effet analyser l’impact sanitaire et social des rats sur la population à travers le monde, tout en tournant à la manière d’un film d’horreur! Rats devrait faire son petit effet, et vous plonger avec appréhension dans le monde de ces rongeurs!

 

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Channel Zero saison 1 (2016)

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Après avoir notamment été producteur et scénariste sur la série Hannibal, Nick Antosca s’est attelé à la création d’un nouveau show à dimension horrifique, Channel Zero. Il s’agit d’une nouvelle série anthologique, ayant été validée pour 2 saisons indépendantes. La première se nomme Candle Cove, et va suivre ce qui se passe dans un petit patelin tranquille alors qu’une série télé pour enfants va complètement les détraquer…

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L’aspect visuel de Channel Zero est juste magnifique, avec son personnage blanc complètement énigmatique, sa propension à filmer la beauté de la nature, son appréciation de la temporalité… Il y a quelque chose de véritablement original et sincère dans le traitement que Nick Antosca appose à sa série, et les premiers épisodes nous mettent dans une ambiance à la fois lourde et envoûtante. Rarement le fond aura été aussi élégamment lié à la forme, et le travail de Craig William Macneill, qui met en scène les 6 épisodes de cette saison, est vraiment remarquable. Ses partis-pris esthétiques nous plongent dans un monde à la frontière entre le réel et le cauchemar, où les mauvais rêves deviennent menaçants en s’ancrant de plus en plus dans la réalité… Sa manière de montrer la persistance du monde imaginaire de Candle Cove dans cet environnement de toute beauté crée une dynamique assez impressionnante, et on se retrouve devant une sorte de show horrifique bucolique très original…

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Quand Mike Painter (Paul Schneider, vu dans les séries The Divide ou Tunnel) revient dans sa ville natale presque 30 ans après des meurtres non élucidés, il se rend compte que les phénomènes étranges qui avaient eu lieu lors de son enfance semblent être en train de se reproduire… Une étrange série télé enfantine pourrait bien être la cause de toutes ces atrocités, agissant sur l’esprit des jeunes et les rendant dangereux. C’est ce qui semble s’être passé à l’époque, et Candle Cove est à nouveau prêt à agir sur la jeune génération. Les premiers épisodes sont des modèles d’écriture et d’ambiance, avec un excellent travail pour créer une atmosphère captivante et pesante, avec ce mélange de visions adultes et de naïveté enfantine en train de se perdre… Tout le poids des événements qui se sont déroulés durant les années 80 semble perdurer, ayant modelé la ville et ses alentours, et ayant entraîné tous ses habitants dans sa chute silencieuse… Cet héritage sanglant pèse sur la communauté, qui n’a jamais réussi à identifier le coupable.

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Le retour de Mike coïncidant avec de nouveaux événements étranges et inquiétants, il est rapidement soupçonné, et va devoir prouver qu’il n’est en rien impliqué. Par contre, son propre passé et ses propres craintes vont resurgir au fur et à mesure qu’il enquêtera pour y voir plus clair. L’homme, devenu un pédiatre influent, va replonger dans les affres de son enfance pour y trouver des réponses auxquelles il ne s’attendait pas. Nick Antosca nous livre une série exigeante et qui s’ouvre de manière exemplaire, pour malheureusement s’essouffler vers la fin… La résolution de tout ce mystère est à ce titre décevante, alors que les multiples pistes étudiées étaient franchement captivantes… L’impact de cette série sur le cerveau des enfants, le fameux personnage blanc juste génial, l’intelligence de l’écriture faisaient que l’on était dans une version sacrément mature d’un conte pour enfants bien glauque, à tel point qu’il m’a fallu arrêter un peu la série pour souffler!

Channel Zero propose une approche vraiment innovante en matière horrifique, et il est vraiment dommage qu’elle n’ait pas su garder le cap jusqu’au bout! Mais elle reste une expérience à tenter, si vous ne craignez pas les ambiances résolument glauques!

Channel Zero: Candle Cove - Season 1

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Le clip de la semaine: Parkour EDU

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Il y a parfois des vidéos qui vous scotchent par leur simplicité et leur beauté immédiate, c’est le cas de celle-ci, qui est l’une des plus parfaites représentations du Parkour que j’ai pu voir! On la doit à Parkour EDU, et la traduction a été faite par Temujaï Tv – Parkour Nice. Par contre elle est uniquement disponible sur Facebook, donc je vous mets le lien direct juste ici! Si après l’avoir vue, vous n’avez pas envie de venir nous rejoindre, je ne comprends plus rien! 😉

 

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Tu ne tueras point (Mel Gibson, 2016)

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Après L’Homme sans Visage, Braveheart, La Passion du Christ et Apocalypto, Mel Gibson ajoute une nouvelle pierre à son édifice cinématographique en tant que metteur en scène avec ce Tu ne tueras point, qui va nous ramener en pleine Seconde Guerre Mondiale. Desmond Doss est un jeune homme aux convictions religieuses très ancrées, qui est prêt à servir son pays, mais qui refuse de porter une arme et de tuer. Pourtant, cet homme va faire preuve d’un courage exemplaire sur le front, et va sauver la vie de nombreux camarades pris sous le feu japonais. Desmond Doss n’est pas un simple personnage de fiction, mais a réellement existé, et Mel Gibson lui rend hommage avec ce film, tout en démontrant la folie et les horreurs de la guerre…

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L’histoire de ce soldat est assez incroyable, lui qui a dû se battre afin de pouvoir rester dans l’armée et parvenir à devenir infirmier. Il est le premier objecteur de conscience à recevoir la Médaille d’Honneur, largement méritée au vu de ses actions sur le champ de bataille. C’est l’excellent Andrew Garfield (Boy A, The amazing Spider-Man, The amazing Spider-Man: le Destin d’un Héros) qui endosse le rôle de cet homme à part, à la naïveté si optimiste et à la foi inébranlable. Il y a un aspect résolument paradoxal à voir un homme aussi pacifiste que lui pris dans cette tourmente de violence, et parvenir à y trouver sa place par ses actions si courageuses. Desmond Doss ne souhaitait pas aller sur le front pour tuer l’ennemi, mais pour sauver les vies des soldats combattant à ses côtés. Une conviction qui n’a pas été très bien accueillie à son arrivée dans le camp d’entraînement…

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Mel Gibson va nous montrer les différentes étapes de son engagement, avec dans un premier temps les difficultés qu’il va rencontrer au sein de la hiérarchie militaire, prête à le faire passer en cour martiale s’il refuse de porter une arme. Il va également être mis à rude épreuve par les hommes de son groupe, qui se disent qu’il ne sera d’aucun secours sur le terrain s’il ne porte pas de fusil. Mais lors de l’assaut de la colline d’Hacksaw Ridge, il a fait preuve d’un dévouement et d’un courage exemplaires, qui lui ont permis de sauver des dizaines de vies (75 officiellement). Desmond Doss est un symbole pour l’armée américaine, et Mel Gibson, qui lui aussi est un fervent croyant, a voulu retranscrire cette histoire de courage et de foi hors du commun.

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On connaît le talent visuel de Gibson, et il va apposer un traitement d’une très belle esthétique à son nouveau film. Les scènes de guerre sont d’un réalisme impressionnant, et l’on se retrouve pris dans le feu de l’action aux côtés de ces soldats, vivant ce qu’ils ont vécu en ces terribles journées. Il va nous montrer ce que Desmond Doss a réalisé là-haut, sur cette colline qui semblait être devenue une antichambre de l’enfer. On se retrouve piégé avec lui dans ce charnier, choqué par la violence et les visions d’horreur du champ de bataille. Mais Gibson va nous démontrer que même en enfer, il y a encore de l’espoir…

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Maintenant il faut reconnaître que le réalisateur a pris quelques libertés avec la véritable histoire, que vous pouvez retrouver ici, dans la partie « citation pour la médaille d’honneur ». Tu ne tueras point est réussi, et constitue un film de guerre original dans son propos, et mis en scène avec beaucoup d’inspiration. Après c’est l’aspect purement patriotique qui peut parfois gêner, l’ennemi étant vu durant tout le film comme une sorte de puissance presque surnaturelle… Il y a un aspect très manichéen dans cette vision de la guerre, à laquelle on pourra préférer celle, beaucoup plus envoûtante, de La Ligne rouge de Terrence Malick… Mais le film mérite d’être vu pour cette histoire incroyable et exemplaire de ce jeune homme sorti de sa tranquille Virginie natale, et qui a accompli un véritable miracle sur cette colline…

Desmond Doss recevant la Médaille d'Honneur des mains du Président Harry Truman

Desmond Doss recevant la Médaille d’Honneur des mains du Président Harry Truman

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Les news de la semaine: Real Humans

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Le film Inhumans était en projet depuis de nombreuses années chez Marvel Studios, et il était étonnant qu’ABC prenne les devants en traitant des Inhumains dans son show Marvel: les Agents du S.H.I.E.L.D.. La préparation du terrain se faisait donc très longtemps en amont, et les plans pour la famille royale d’Attilan ont bien changé depuis! En effet, le prolifique Kevin Feige a révélé que la suite des aventures inhumaines ne se ferait pas au cinéma, mais bien à la télévision, toujours orchestrée par ABC, le network gérant Coulson et ses agents! Et si on est en droit d’avoir quelques réserves concernant le traitement qui sera fait aux Inhumains (Marvel: les Agents du S.H.I.E.L.D. ne parvenant pas, en 4 saisons, à aller au-delà de la série sympathique mais trop lisse), on sera finalement assez vite fixé, puisque Flèche noire et sa troupe débarqueront en 2017!!!

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Et rareté qui rappellera quelques bons souvenirs aux plus anciens, les 2 premiers épisodes sortiront au cinéma!!! Un peu comme les films Spider-Man ou Hulk des années 70, qui étaient des montages d’épisodes de séries… Bon, la série est tournée en IMAX, ce qui semble justifier ce passage entre 2 médias. Pour ma part, je n’y vois qu’un coup marketing pour rameuter du monde sur ABC, mais bon, ce sera un nouveau coup de comm de la part de Marvel, et ça a au moins le mérite d’être assez original!

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On fait un point sur The Defenders, qui déboulera après Iron Fist? La série sera donc développée par Douglas Petrie et Marco Ramirez, qui sont en terrain connu, puisqu’ils étaient préalablement showrunners sur l’excellente saison 2 de Daredevil! Dans ce mini-Avengers en 8 épisodes, on aura donc droit à la quasi-intégralité du casting des 4 séries Netflix que sont Daredevil, Jessica Jones, Luke Cage et Iron Fist! On verra donc Charlie Cox en Daredevil, Krysten Ritter en Jessica Jones, Mike Colter en Luke Cage, Finn Jones en Danny Rand (Iron Fist), mais aussi tout un pan de personnages issus de chaque série: on aura Jon Bernthal en Punisher bien évidemment, Elodie Yung (Elektra), Scott Glenn (Stick), Elden Henson (Foggy Nelson), Deborah Ann Woll (Karen Page), Rachael Taylor (Trish Walker), Eka Darville (Malcolm Ducasse), Carrie-Ann Moss (Jeri Hogarth), Simone Missick (Misty Knight), et sa future acolyte Jessica Henwick (Colleen Wing).

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Ajoutez à cela Rosario Dawson en Claire Temple, le personnage de l’infirmière qui est le seul à apparaître dans 3 des 4 shows précédents, et enfin Sigourney Weaver dans le rôle de la bad girl (dont l’identité est tenue secrète pour l’instant), on arrive à un casting assez démentiel, qui fait de cette réunion des héros urbains Marvel une des productions les plus attendues de 2017!!!

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Nouveau poster pour Logan, qui met définitivement en avant la relation très paternelle qui existera entre ce bon vieux Wolvie et la jeune X-23! La BA avait mis tout le monde d’accord, maintenant il faudra confirmer toutes ces belles promesses le 1er mars 2017!!!

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Le site Comicsblog est toujours à l’affût des dernières news, et ils ont posté un article très intéressant dans lequel ils traduisaient une interview de Ryan Reynolds. On attendait évidemment beaucoup son point de vue sur le départ de Tim Miller, réalisateur de Deadpool et qui s’en est allé du projet Deadpool 2.

« Tout ce que je peux ajouter c’est que je suis triste de le voir partir du film. Tim est brillant et personne n’a travaillé plus dur sur Deadpool que lui. »

« Je sais quand exercer mon contrôle et quand le ranger au placard. Je ne vais pas m’assoir avec Tim Miller pour dire ‘les effets spéciaux de Deadpool doivent être faits comme ça’ car le type est un génie des effets visuels. Mais il y a un personnage et un ton que je connais très bien. Et je suis impliqué là-dedans depuis plus longtemps que n’importe qui, sauf les types qui écrivent les comics. Ca fait onze ans que j’essaie de relancer la machine et elle n’a pas arrêté de me claquer dans les doigts depuis. Donc je vais m’impliquer à fond dès son lancement et jusqu’à sa fin. » (source comicsblogs)

Des propos très clairs de la part de l’acteur qui se bat effectivement depuis très longtemps pour le personnage, et qui est sans conteste à l’origine de la mise en chantier du premier film. Maintenant il compte bien développer le personnage de Wade comme il l’entend, et je n’ai pas peur de la direction qu’il souhaite prendre. C’est toutefois vraiment dommage que Reynolds et Miller n’aient pas pu trouver un terrain d’entente, le réalisateur ayant apporté une tonalité juste énorme au film! Ca ne va pas être facile de trouver quelqu’un pour lui succéder… Mais Ryan Reynolds étant dingue du personnage, il ne le laissera pas aux mains du premier venu, on peut en être certain!!!

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En bref, j’ai vu February d’Oz Perkins, film de genre lorgnant du côté de Suspiria avec son histoire de jeunes filles coincées dans leur école… Le film s’avère assez étrange et glauque, et nous permet de retrouver Emma Roberts (Nerve) et Kiernan Shipka (Infectés).

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On termine avec la séance photo de Ryan Reynolds pour GQ, qui ne peut pas se départir de son costume de Deadpool… Quand je vous dit que c’est le rôle de sa vie!!!

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