Black Mirror saison 3 (2016)

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Black Mirror est véritablement une série à part, ne s’inscrivant dans aucune logique commerciale, et au vu de ce qu’elle dénonce, c’est d’autant plus louable. Après une 1ère saison de 3 épisodes sortie de nulle part en 2011, il aura fallu attendre 2013 pour avoir une saison 2 à nouveau constituée de 3 épisodes. Et après un épisode unique en 2014, voici que Charlie Brooker nous livre une nouvelle salve en 2016, avec cette fois 6 épisodes! Et la suite est déjà programmée pour 2017, avec une saison 4 de 6 épisodes également!

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On voit tout de suite que ce show anglais est résolument différent, et cette production que l’on pourrait qualifier d’hasardeuse est probablement ce qui permet au génial auteur de prendre le temps de rédiger des histoires qui marqueront le spectateur, avec toujours en filigrane ce dénominateur commun que sont les outils modernes de communications, qui vont à chaque fois être source de problèmes majeurs pour les héros de ces fables tellement contemporaines. Après 2 saisons + 1 épisode spécial, ce retour aux affaires de Brooker s’avère encore une fois gagnant!

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Et pourtant, le 1er épisode de cette saison 3 ne constitue pas l’ouverture la plus emballante, avec Bryce Dallas Howard qui se débat pour gagner en popularité dans un monde régi par les apparences, où les likes des gens vous permettent d’accéder à d’autres sphères sociales. Qui a dit Facebook? L’allégorie, bien qu’intéressante, tourne rapidement à vide, et cet épisode signé Joe Wright (Orgueils & Préjugés, Pan) est clairement l’un des plus faibles de la saison.

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Le second s’avère bien plus captivant, avec l’histoire d’un homme qui se rend dans une immense demeure afin de tester un jeu vidéo nouvelle génération. Le récit est construit avec une très belle maîtrise, et va interroger sur les capacités actuelles en matière de réalité virtuelle, qui pourraient bien s’avérer trop dangereuses pour le cerveau humain… Encore une fois, on est dans une sorte de fable post-moderne, mais cet épisode s’avère bien plus riche, et quand arrive le générique de fin et que l’on voit le nom de Dan Trachtenberg, on comprend pourquoi la mise en scène était aussi prenante! Trachtenberg est le réal derrière les excellents courts Portal: no Escape et More than you can chew, ainsi que du sympathique 10 Cloverfield Lane.

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Le 3ème épisode joue la carte du hacking avec brio, le personnage principal, un ado solitaire, ayant vu sa webcam piratée. Et quand quelqu’un menace de diffuser la vidéo qui le voit s’adonner à quelques plaisirs solitaires, il est contraint d’obéir et de faire ce qu’on lui ordonne. Ca commence de manière assez anodine, mais l’ambiance va rapidement devenir pesante… C’est James Watkins, le metteur en scène d’Eden Lake, La Dame en Noir et Bastille Day, qui parvient à rendre cette histoire très crédible et crispante! On a même droit à la participation de l’excellent Jerome Flynn, alias Bronn dans Game of Thrones!

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L’épisode 4 va nous conduire dans une aventure totalement rétro, puisqu’on débarque en 1987! Le changement est radical par rapport aux épisodes modernes habituels, et encore une fois, le traitement va être très intelligent, en suivant 2 femmes qui semblent bien attirées l’une par l’autre…

Le 5ème épisode propose une belle idée de départ aussi, mais s’avère relativement faible aussi finalement… Mais la saison se clôt sur un épisode juste excellent, qui va repousser le concept de Big Brother en version nanotechnologique. Visuellement bluffant, il va s’appuyer sur un récit des plus solides pour nous conter les dérives potentielles d’une création originellement appelée à aider la population… Le détournement de la technologie est un thème d’actualité, mais il est encore doublé d’une interrogation sur la puissance des réseaux sociaux. Cet épisode gère à la perfection l’aspect paranoïaque qui est la marque de fabrique de cette série anthologique, et on a la chance d’avoir Kelly Macdonald (Trainspotting) et Benedict Wong (Doctor Strange).

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Black Mirror est une création réellement originale, dans laquelle Charlie Brooker nous met en garde contre les dérives de ce monde trop connecté qui est le nôtre. Son futur n’est pas celui dans 20, 30 ou 50 ans, c’est celui qui pourrait bien avoir lieu l’année prochaine, le monde glissant de manière irrépressible vers de telles possibilités, où le trop-plein d’informations risque bien d’être la source de tous les maux. En analysant les avancées technologiques et en les intégrant dans des récits qui vont mettre le doigt dans l’engrenage infernal, il nous livre encore une fois une saison impressionnante! Même si elle n’est pas parfaite, elle est suffisamment riche pour nous prendre aux tripes et bien nous faire réfléchir à tout ce qui nous entoure. Téléphones portables, ordinateurs, tablettes, intelligence artificielle, tout est en marche pour que l’on arrive au meilleur des mondes…

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Le clip de la semaine: SLVR 3.0 – Art of Inefficiency

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Christian Harmat est un traceur suisse gravitant aux alentours de Bâle, dont le mélange de Parkour et de freerun s’avère d’une très belle fluidité! Son costal-bras est juste dingue, et son salto arrière presse aussi!!! Un traceur à suivre! Et le morceau In the Hands of Gods de Morcheeba qu’il a choisi est excellent et l’accompagne avec classe!

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Les Guerres secrètes (1984)

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Cet article est une reprise de celui que j’ai écrit il y a 8 ans sur mon 1er blog, Salem Center! Je poursuis mon exploration des classiques Marvel! 😉

Attention, l’événement est historique, puisque Panini a réédité pour la première fois les fameuses Guerres secrètes qui ont tenues en haleine les lecteurs de Marvel durant toute une année. De mai 84 à avril 85 s’est en effet déroulé le tout premier crossover dans le monde des comics, et l’on doit cette révolution à la Maison des Idées. Tout est en fait partie d’une vision assez mercantile, puisque Marvel voulait concurrencer ses adversaires dans le monde des figurines et créer une série de petits bonshommes en plastique avec les tronches de Captain America et de Galactus dessus. Le rédacteur en chef de l’époque, Tom DeFalco, suit les recommandations du fabricant de jouets et engage des auteurs afin de créer un récit qui mêlera tout un pan représentatif du bestiaire de l’éditeur afin de le faire coïncider avec la sortie des figurines. Cette maxi-série en 12 épisodes va cartonner, et va changer la face des comics à jamais…

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Pour rassembler deux douzaines de super-héros et de super-vilains, il faut quelque chose de grand, de cosmique et d’apocalyptique. Jim Shooter, chargé du scénario, va mettre en avant une sorte de jeux du cirque cosmiques arbitrés par un être mystérieux et aux pouvoirs démesurés, le Beyonder. Celui-ci fait venir les participants qu’il a sélectionné et les place sur Battleworld, une planète patchwork qu’il a constitué en un clin d’œil afin que les bons et les mauvais s’affrontent. Ces Guerres secrètes ont toujours résonné comme une promesse d’aventures étranges et intersidérales, et les nombreuses allusions qui ne manquaient pas dans les comics que je lisais à l’époque m’avaient toujours donné envie de découvrir ce qui se cachait derrière ce titre aussi énigmatique qu’accrocheur. C’est enfin chose faite aujourd’hui, et même si l’impact est évidemment moins fort que ce à quoi je m’attendais après toutes ces années, je dois dire que ce récit reste une œuvre réussie et captivante.

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Evidemment, il faut se laisser aller au manichéisme 80’s (même si quelques retournements de situations sympathiques changent parfois la donne) et aux dessins naïfs hérités de deux décennies de super-héros vindicatifs. Mais l’atmosphère instillée par Jim Shooter et Mike Zeck permet de donner corps à cette confrontation globale qui s’avère finalement réjouissante, même si scénariser l’ensemble devait être une tâche plutôt complexe. Avec 19 super-héros et 14 super-vilains, pas facile de s’y retrouver dans l’élaboration d’un script qui tienne la route! Mais Shooter parvient à donner une cohésion à l’ensemble en mettant en avant par intervalles différents protagonistes, et en jouant sur la différence mutante avec un sens de la paranoïa qui était toujours aussi actif à l’époque…

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Les Avengers se retrouvent quasi-complets, accompagnés de 3 des 4 Fantastiques (Mr. Fantastic, la Torche et la Chose); et les X-men du Professeur Xavier répondent présents, bien qu’ils fassent bande à part et restent à l’écart des aventuriers humains. En face d’eux, des adversaires aussi variés que Galactus, Fatalis ou l’Homme-Molécule, qui vont leur donner bien du fil à retordre… Les Guerres secrètes est un récit surfant sur la vague des œuvres cosmiques très en vogue depuis les années 70, et ce tout premier affrontement de masse s’avère plutôt réjouissant! Hulk fait équipe avec Spider-Man et Colossus pour contrer les Démolisseurs et le Lézard, et des nouveautés bien trouvées vont marquer à jamais le monde Marvel. C’est le cas avec un certain costume noir trouvé par le Tisseur… Ou encore l’apparition de nouveaux personnages issus directement de ce crossover…

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Jouant sur les rebondissements et les jeux d’alliances avec un art consommé, Jim Shooter emballe son récit par une dynamique sûre, et fait de cet affrontement aux répercussions titanesques une œuvre séminale qui a certes pris un coup de vieux, mais qui fonctionne toujours grâce à une certaine nostalgie…

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Desierto (Jonas Cuaron, 2015)

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Second film de Jonas Cuaron après Ano Una, Desierto est un thriller impressionnant qui prend place dans les immensités désertiques de Californie. Un groupe de Mexicains passe la frontière illégalement, et va être la cible d’un Américain qui pense être dans son droit en tuant ces immigrants clandestins. Accompagné de son chien et de son fusil, il va traquer ces pauvres gens et va tenter de les éliminer un par un.

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Jonas Cuaron est le fils d’Alfonso Cuaron, le metteur en scène de l’excellent Gravity. On sent une filiation dans la manière de filmer, et Jonas Cuaron va créer un climat de tension qui ne s’affaiblira jamais! Sa manière de filmer le désert est juste sublime, et durant tout le film, on va suivre cet événement tragique en ayant toujours à l’esprit l’écrin de beauté sauvage dans lequel il se déroule. Sa vision des badlands n’est pas sans rappeler celle de Terrence Malick avec sa fameuse Balade sauvage en 1973. Il y a une réelle force dans son évocation de la nature, qui apparaît presque comme un personnage à part entière. Le groupe de migrants se retrouve pris au piège dans cette contrée hostile et pourtant magnifique, où le soleil cogne jusqu’à 49 degrés et où les serpents rôdent sur le sol aride. Mais le danger va venir d’un autre être humain, qui s’arroge le droit de vie et de mort sur des êtres qu’il pense inférieur.

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Jeffrey Dean Morgan (Watchmen: les Gardiens) est excellent dans le rôle de ce salopard violent et radical, et Jonas Cuaron va nous livrer un thriller en plein soleil véritablement impressionnant. La sauvagerie avec laquelle il va s’en prendre à ces Mexicains est choquante, entre ses tirs à la carabine et les attaques de son chien. Mais surtout, c’est le réalisme de la situation qui fait froid dans le dos. Toute la beauté cinématographique est là pour renforcer l’impact radical et réaliste de ce qui est en train de se dérouler, et il y a un paradoxe évident entre la qualité des plans et l’horreur de la situation. On pense dans une moindre mesure à une approche à la Alejandro Gonzalez Innaritu avec son The Revenant, et Desierto est aux confins du film d’auteur et du thriller. Gael Garcia Bernal (qui avait commencé chez Innaritu dans son Amour chiennes, et qui l’avait recroisé pour Babel) est vraiment bon dans le rôle de cet immigrant qui va tenter de fuir ce tueur. On va le suivre, ainsi que les autres survivants, dans ce récit à la tension palpable et au suspense intense!

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Il s’agit d’un film de survie élémentaire, une chasse à l’homme implacable où les traqués vont devoir puiser dans leurs ressources les plus profondes pour survivre. On pourrait également trouver une filiation avec l’excellent Apocalypto de Mel Gibson, qui se pare également d’une beauté picturale intense dans l’évocation de sa traque. Les personnages de Desierto pensaient que leur traversée de la frontière serait difficile, mais ils ne s’attendaient certainement pas à être en danger de mort… Le film est âpre comme le sable du désert, et toute son intensité psychologique est traitée de très belle manière, l’écriture traitant de manière très directe la peur et le désespoir des personnages. Desierto impressionne par sa rugosité et sa beauté implacable, et Jonas Cuaron assure une très belle relève!

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Les news de la semaine: Mission to Mars

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Après le très bon Sécurité rapprochée en 2012, le metteur en scène suédois Daniel Espinosa retrouve Ryan Reynolds dans Life, un film SF très prometteur! Reynolds quant à lui retrouve les scénaristes de Deadpool Rhett Reese et Paul Wernick, qui semblent avoir opéré un virage radical, Life lorgnant davantage vers le film angoissant que la blague de potache! Avec encore l’excellent Jake Gyllenhal et Rebecca Ferguson, le casting s’avère bien enthousiasmant, et cette bande-annonce donne très envie de découvrir ce que ses astronautes ont bien pu ramener de la planète Mars! Sortie le 31 mai 2017!


 

Rien ne va plus sur le projet Deadpool 2… Après la défection de l’excellent réalisateur Tim Miller, c’est le compositeur Junkie XL qui lâche le projet… Sa décision a été difficile, mais a été prise par solidarité envers Tim Miller justement… Il s’est expliqué dans un court texte diffusé sur Facebook, dont la traduction donne ceci:

« Chers amis, c’est avec le coeur lourd que j’ai décidé de ne pas composer le prochain Deadpool. J’aime ce personnage et créer son thème et celui du film était un chapitre monumental dans ma vie, personnelle et professionnelle.

Depuis qu’il a été révélé que le brillant directeur créatif Tim Miller ne sera désormais plus impliqué dans le projet, j’ai entrepris un peu d’introspection. Tim était la force motrice derrière Deadpool et le fait que je sois impliqué dans ce fabuleux projet. Deadpool sans Tim à sa tête ne me convient juste pas et c’est pourquoi j’ai décidé de ne pas être impliqué dans ce second chapitre.

C’était une décision difficile, car j’aime énormément le projet et je sais combien le prochain film sera attendu, c’est dur de quitter quelque chose de si unique, mais il doit aussi sembler juste. J’espère que tout le monde comprend. En avant et toujours plus haut. »

Deadpool 2 est prévu pour 2018.

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Merantau était une mise en bouche sympathique, avant la folie visuelle que constituait The Raid, suivi par le tout aussi démentiel The Raid 2: Berandal! Dire que le retour de Gareth Evans est attendu est un doux euphémisme, et on en sait aujourd’hui davantage sur son prochain projet. Intitulé Apostle, il verra un homme se rendre sur une île afin de délivrer sa soeur des griffes d’une secte. Le gourou ayant demandé le versement d’une rançon, le frangin bien vénère arrive pour distribuer quelques coups de tatanes bien placés… C’est un résumé certes concis, mais Apostle devrait aller droit à l’essentiel! Et juste 1 jour après cette annonce, voilà qu’on apprend l’arrivée de Dan Stevens sur le projet!!! La rencontre entre les 2 hommes risque bien d’être sacrément explosive, et Stevens est vraiment en train de devenir incontournable du côté d’Hollywood! Le génial acteur de The Guest, qui incarnera aussi Legion dans la série éponyme qui débarquera en février, renforce encore l’aura de ce futur film, qui n’a pas encore de date de sortie.

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Le cinéaste israélien Ariel Vromen, à qui l’on doit l’excellent Criminal: un Espion dans la Tête, s’embarque sur un projet très particulier, nommé… Rambo: new Blood!!! Il a en effet été choisi pour remettre au goût du jour la célèbre franchise chère à Sylvester Stallone! Ce reboot de l’excellent Rambo verra un jeune acteur reprendre le personnage, ce qui est toujours légèrement flippant quand on apprécie la tétralogie avec Stallone lui-même… Mais bon, quand on voit la qualité du reboot de L’Arme fatale en série, on se dit qu’on peut toujours espérer une très belle surprise!

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Pas certain que sortir une suite à Trainspotting soit une idée de génie…La BA de T2: Trainspotting ne s’avère en effet pas bien emballante, même si on retrouve les acteurs d’origine. 21 ans après, Danny Boyle remet donc le couvert pour une histoire de drogue, d’amitié et de sexe, qui risque de sentir le réchauffé… Sortie le 27 janvier 2017.


 

2ème bande-annonce pour Wonder Woman… Ca donne toujours pas plus envie… Sortie le 7 juin 2017.


 

La bande-annonce de xXx: reactivated a l’air bien plus fun, avec son côté délirant et fleurant bon le nanar à gros budget! Vin « Je s’appelle Groot «  Diesel revient dans la course dans le rôle de Xander Cage, et franchement, ça a l’air aussi débile que bon! Et cerise sur le space cake, il y a Donnie Yen dedans!!! D. J. Caruso nous livrera-t-il le film d’action décérébré de l’année? Sortie le 18 janvier 2017.


 

L’omniprésent Jake Gyllenhal revient également dans Nocturnal Animals, un film signé Tom Ford qui pourrait bien être l’une des excellentes surprises de 2017 ! Avec un casting aux petits oignons (Amy Adams, Michael Shannon, Aaron Taylor-Johnson, Isla Fisher), ce thriller psychologique devrait faire parler de lui, la BA promettant une très belle ambiance! Sortie le 4 janvier 2017.


 

Je suis tombé sur un excellent article qui relate comment est apparu le fameux PG-13 aux Etats-Unis, classification supplémentaire apparue en 1984, et signifiant « déconseillé aux moins de 13 ans ». Le blog La Censure au Cinéma relate cette histoire étonnante, qui a commencé avec un certain Steven Spielberg… Je vous laisse le soin de découvrir ça juste ici, c’est très intéressant!

 

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Le Silver Surfer existe!!! Si si, il a été croisé dans les rues de New York à Halloween!!!

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