Les news de la semaine: Apocalypto

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On avait plus vu Mel Gibson derrière la caméra depuis 10 ans et son sublime Apocalypto! Il est de retour avec Hacksaw Ridge, qui nous va nous plonger dans l’enfer d’Okinawa durant la Seconde Guerre Mondiale, en nous racontant le parcours étonnant de Desmond T. Doss, le premier objecteur de conscience. Ce jeune homme enrôlé volontaire en 1942, refuse catégoriquement de tuer et de porter une arme, ce qui le mettra dans des positions périlleuses vis-à-vis de l’ennemi, mais également des soldats de son régiment. Mel Gibson semble avoir encore une fois réussi à créer un récit épique et empli d’émotion, et Andrew Garfield dans le premier rôle prouve encore une fois à quel point il est talentueux! Avec encore Sam Worthington, Hugo Weaving et Vince Vaughn, on pourrait bien tenir un film au potentiel oscarisable très élevé!


 

Kevin Feige voit loin avec Marvel Studios, puisque leur planning court jusqu’en 2019 et qu’ils réfléchissent évidemment bien au-delà, sans nous révéler de quoi sera fait la suite du MCU! Avec cette vision à long terme, il est bien évident que quelques ajustements sont inévitables de temps à autre, et celui qui nous intéresse aujourd’hui touche 2 gros morceaux du studio. Initialement titrés Avengers: Infinity Wart – Part 1 et Avengers: Infinity War – Part 2, les 2 métrages des frères Russo se distingueront finalement davantage! Le 3ème épisode consacré aux plus grands héros de la Terre, qui sortira en 2018, se nommera Avengers: Infinity War, tandis que le 4ème est pour l’instant connu comme Untitled Avengers Movie.

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Ce changement marquera bien la distinction entre les 2 films, qui ne seront pas une seule aventure chapitrée en 2 parties, mais 2 récits indépendants. Tandis que le film de 2018 mettra clairement en scène l’affrontement entre les héros et Thanos, occupé à se procurer les Gemmes d’Infinité, on ne sait encore rien du contenu du film de 2019, qui était censé jusque-là conclure cette saga cosmique. On a encore le temps de conjecturer sur ce qu’il proposera, les différents longs métrages qui s’intercaleront entre les 2 épisodes pouvant offrir tellement de possibilités!

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Avec Mr. Wolff, Ben Affleck ajoute une composition de choix dans sa filmographie, ce personnage très particulier d’expert-comptable autiste offrant un potentiel très intéressant, d’autant plus qu’il travaille pour différentes mafias! Et quand cet homme solitaire et ordonné prend les armes, il se transforme en une sorte de Jason Bourne très méticuleux! C’est Gavin O’Connor, le réal de l’excellent Warrior, qui mène Affleck, Anna Kendrick, Jon Bernthal, J. K. Simmons et John Lithgow dans ce qui s’annonce comme un thriller diablement efficace!

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En bref, j’ai vu The keeping Room, un drame se déroulant durant la Guerre Civile Américaine, et dans lequel 3 femmes doivent faire face à l’intrusion de 2 soldats de l’Union dans leur habitation. Dit comme ça, on s’attend à un home invasion sur fond d’Histoire, mais le film n’est pas aussi tendu que ce que l’on pouvait espérer. Mais une fois que l’on accepte son rythme, on suit ce récit avec intérêt. C’est Daniel Barber, le metteur en scène d’Harry Brown, qui nous livre ce film à l’ambiance étrange.

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J’ai également vu The ReZort de Steve Barker, qui aime bien les zombies depuis Outpost et Outpost: black Sun. Du coup, il poursuit dans cette veine lucrative et nous livre un film plan-plan dont l’idée de départ est pourtant sympa: après qu’un virus zombie ait éradiqué près de 2 milliards de personnes, un parc d’attraction situé sur une île a un succès retentissant. Sur The ReZort, on peut faire un safari pour buter du zomblard! Mais bien évidemment, tout ne va pas se passer comme prévu… Rien de bien neuf sous le soleil, malgré un concept très intéressant qui finit par être gâché…

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Suicide Squad (David Ayer, 2016)

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Bon, par où commencer… DC aura payé un lourd tribut en 2016, avec la débâcle Batman v Superman: l’Aube de la Justice, que j’avais pour ma part trouvé sympa, tout en comprenant que les puristes en soient ressortis déçus. Mais ce n’est rien comparé au cas Suicide Squad, film que l’on nous promettait aussi fun que badass, et qui allait donner un grand coup de pied dans la fourmilière en proposant enfin un récit composé principalement de bad boys & girls, dont certains des plus mythiques de l’univers DC! Bon, un film de psychopathes classé PG-13, y a pas un truc qui choque dès le départ?? A la fin de la projection, une chose est certaine: c’est clairement un film de producteurs qui n’avaient strictement aucune envie d’utiliser une once du potentiel explosif qu’ils avaient entre les mains…

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On va commencer par le réalisateur David Ayer, capable du bon (End of Watch, Fury), et du pire (Sabotage). Suicide Squad appartient indéniablement à la seconde catégorie, et c’est impressionnant de voir à quel point le metteur en scène peut passer de l’investissement profond au désintérêt le plus total selon les films… Si les bande-annonces trompaient leur monde de manière très efficace en injectant un rythme soutenu et une ambiance bien barrée, le long métrage se cachant derrière ces artifices ne tient pas la route et s’effondre dès le départ. Pour la défense d’Ayer, on pourrait certainement arguer qu’il avait les mains liées sur un projet d’une telle envergure… Mais comme il a également écrit lui-même le scénario, on peut finalement en conclure qu’il ne s’agit pas d’un manque de motivation de sa part… On sait que le film a eu droit à des reshoots après un premier montage qui n’était pas satisfaisant, mais j’ai du mal à croire que la version précédente ait pu apporter tout ce qui manque cruellement dans le film…

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On nous promettait un Joker ravageur, une Harley Quinn déjantée, un Deadshot sans pitié… Mais le film ne rend pas un seul instant hommage à ces personnages issus de la culture populaire, dont les comics sont parvenus à en faire des figures du Mal absolu de la plus belle des manières, selon les scénaristes qui s’attelaient à la tâche. Le Joker est synonyme de bad guy ultime, et l’aura d’Alan Moore perdure encore 38 ans après Batman: the killing Joke! Mais n’espérez pas en voir la moindre parcelle dans cette adaptation, qui a tout simplement décidé d’édulcorer tous ses personnages, même le plus mythique! Jared Leto nous livre ce qui restera probablement comme la pire prestation de sa vie, totalement inutile et à la limite de la parodie. Il faut dire que la VF n’aide en rien, mais le peu de marges de manoeuvre qu’on lui a laissé ne permet certainement pas de sauver sa prestation. On est pas près d’oublier Heath Ledger…Quand le pire bad guy de DC est traité de cette façon, avec un manque de respect total au point de lui laisser un temps de présence plus que limité, le reste du film n’a plus grand-chose à sauver…

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On parle d’Harley Quinn? La promo clairement centrée sur la psychopathe sexy donnait sacrément envie de découvrir la prestation de Margot Robbie, qui fait illusion dans la première partie du film. mais on s’aperçoit rapidement qu’elle aussi se retrouve ultra-limitée dans ses possibilités, et qu’elle est condamnée à jouer la nana déjantée de service en sortant des vannes à chaque scène… Le personnage qui promettait une belle bouffée d’oxygène dans le monde des super-vilaines badass ne touche que du bout du doigt ce qu’elle aurait pu être, et tout le problème vient de l’écriture du métrage, qui se complaît dans des personnages rigides et sans évolution possible. Suicide Squad, c’est le film de commande par excellence, dont on a voulu faire un blockbuster accessible à tous, et qui y perd intégralement son âme.

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Deadshot? Will Smith fait du Will Smith, et il met de temps en temps la cagoule de Deadshot pour rappeler qu’il incarne quand même un personnage DC… Il nous ressert le même rôle bienveillant et paternaliste qu’il traîne dans sa filmographie depuis des décennies, et qui n’est pas mauvais en soi, mais qui est tout simplement inadapté à ce film. On s’attend à un film violent et subversif, et on se retrouve face à un produit ultra-calibré aussi fade qu’inoffensif… Dire que l’on est déçu est un doux euphémisme, tant la sensation de s’être fait littéralement arnaquer par les producteurs est grande! On a en plus droit à des méchants que même des réalisateurs des années 90 n’auraient pas osé mettre dans leur film… Quoique, pour faire équitable, Bryan Singer a bien osé nous en livrer un tout aussi moisi dans son X-Men: Apocalypse cette année… Et j’ai même pas envie de parler des autres personnages, Killer Croc, Diablo, Katana, Captain Boomerang… Il n’y a pas un seul personnage dont l’histoire est intéressante, et chacun a droit à son background sans profondeur psychologique, et il y a de quoi être consterné devant un tel étalage de poncifs…

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Il n’y a strictement rien à sauver dans ce film, dont le traitement lisse tous les éléments de la manière la plus flagrante qui soit. Suicide Squad était censé mettre tout le monde d’accord et asseoir le DC Extended Universe, mais il risque clairement de mettre tout le monde d’accord sur un point: Marvel est en train de rafler haut la main le combat entre les Big Two!!! Aaaah si!!! J’oubliais… Les choix musicaux sont excellents, et intensifient d’autant plus la vacuité de l’ensemble! Quand les images ne rendent pas hommage aux sons sublimes qui les accompagnent, que reste-t-il dans un film? Bref, si vous hésitiez à aller le voir, n’hésitez plus, n’y allez pas!!! Je vous conseille plutôt d’aller voir Insaisissables 2, qui est dans la lignée du 1er et qui est bien plus sympathique! 😉

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Le clip de la semaine: Luke Aikins

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Le clip de la semaine, c’est cet exploit tout simplement démentiel réalisé par l’Américain Luke Aikins!!! Parachutiste depuis 26 ans, il a aussi tâté du cinéma en effectuant des cascades pour Iron Man 3 et Godzilla. Mais ce samedi 30 juillet, cet homme de 42 ans a sauté de 7620 mètres dans le vide… Sans parachute!!! Lancé à 193 km/h, Aikins devait atterrir dans un filet de 30 mètres sur 30, situé à 76 m de hauteur!!! Le saut a été retransmis avec un léger décalage, au cas où ça se serait mal passé… Mais Luke Aikins a réussi son pari incroyable!!! Je vous laisse admirer l’exploit sans précédent!!!

 

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Les news de la semaine: Blair Witch!!!

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Il y a 2 mois, j’évoquais le The Woods du génial Adam Wingard, dont la bande-annonce promettait un métrage horrifique des plus réussis. Un second trailer est tombé il y a peu, et les producteurs en ont profité pour dévoiler le vrai titre du film, qui n’est autre que… Blair Witch!!! Une très bonne surprise pour ce retour aux sources qui va très fortement s’appuyer sur l’excellent métrage originel de Daniel Myrick et Eduardo Sanchez datant de 1999, et qui devrait indéniablement redonner un coup de fouet à la saga après l’atroce Blair Witch 2: le Livre des Ombres! De toute façon, un nouveau projet d’Adam Wingard (You’re next, V/H/SThe Guest) ne peut qu’être réussi!!! Le réal est à droite sur la photo, et il pose avec son ami et excellent scénariste Simon Barrett!

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Après un panel Marvel/Netflix très généreux à la Comic Con de San Diego, avec bande-annonces et news à foison, Ted Sarandos, le président de Netflix, apporte des précisions bienvenues quant au calendrier des séries. On sait déjà que Luke Cage débarquera pile dans un mois, le 30 septembre; Iron Fist et The Defenders seront diffusées en 2017; Jessica Jones étant tournée en même temps que The Defenders, histoire de faire des économies non négligeables, la détective privée devrait faire son retour fin d’année prochaine; la 3ème saison de Daredevil, ainsi que la 1ère de The Punisher débarqueront probablement en 2018. Par contre, on ne devra pas attendre aussi longtemps pour revoir Frank Castle, puisque Ted Sarandos a confirmé sa participation dans The Defenders!

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On termine par un détournement bien drôle de la bande-annonce de Justice League: 1ère Partie! Simple et efficace! 🙂

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Codex 632 – le Secret de Christophe Colomb (J. R. Dos Santos, 2005)

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Si Codex 632 – le Secret de Christophe Colomb est sorti en poche il y a 2 mois, ça ne veut pas pour autant dire qu’il s’agit du bouquin le plus récent racontant les aventures de Tomas Noronha. En fait, c’est tout l’inverse, puisqu’il s’agit du tout premier roman consacré aux péripéties du cryptologue portugais, qui allait permettre à José Rodriguez Dos Santos, présentateur vedette du journal télévisé, de devenir un romancier reconnu! Dos Santos avait jusqu’alors publié des essais ou des romans indépendants, et le cycle consacré à Noronha allait s’avérer captivant!

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Codex 632 – le Secret de Christophe Colomb a été publié en 2005, et sa sortie tardive permet de comparer les différences de style d’un auteur talentueux, capable de nous immerger pleinement dans des récits historiques ou scientifiques! La Formule de Dieu (2006), L’ultime Secret du Christ (2011), La Clé de Salomon (2014) sont des œuvres ambitieuses et complexes, qui nous plongent dans les mystères de l’existence au gré d’aventures prenantes aux quatre coins du monde! On sent dans ce 1er bouquin que l’auteur n’a pas encore atteint sa maturité stylistique, mais il parvient néanmoins déjà à créer un vrai suspense et à nous maintenir en haleine avec un mystère vieux de 500 ans! C’est uniquement dans la construction de ses paragraphes que l’on sent un certain manque de dosage; il termine parfois de manière relativement simple, sans que l’on ressente le besoin de tourner la page pour enchaîner; ou alors, il crée des paragraphes relativement longs, là où davantage de concision serait bienvenue.

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Mais ce ne sont que des détails qui ne nous privent absolument pas de tout le savoir et tout l’enthousiasme du romancier, qui excelle dans l’analyse de documents et dans le dépoussiérage de l’Histoire pour nous donner un point de vue novateur sur un sujet que l’on prend pour acquis. En mettant en doute les origines génoises du navigateur Christophe Colomb, il va nous impliquer dans une passionnante enquête destinée à faire la lumière sur ce personnage qui entretenait le mystère. Où est-il né? Colomb est-il son vrai nom? Et quelles sont les raisons des diverses pistes si différentes existant quant à son histoire? Tomas Noronha va se retrouver impliqué dans une aventure qui risque bien de le dépasser, et sa recherche de la vérité ne se fera pas sans mal, tant d’un point de vue philosophique que personnel…

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Je connaissais le personnage à travers ses autres aventures, et découvrir sa toute première fait un drôle d’effet, surtout que j’y ai découvert sa femme et sa fille! A ce sujet, Dos Santos va nous livrer une très belle peinture sociale, à travers ce couple qui tente tant bien que mal d’élever une enfant trisomique. Dos Santos nous fait vivre leur quotidien avec beaucoup de tact et de sensibilité, offrant à ce roman un air de chronique familiale très intéressant, et rendant crédible les sentiments de frustration et de sacrifices liés à la condition de la petite Margarida

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Si l’on compare ce livre aux suivants, on sent que l’auteur tâte le terrain et qu’il ne se lâche pas encore complètement. Thomas ne vit pas d’aventures aussi trépidantes que dans les prochaines œuvres, où sa vie sera cette fois réellement en danger à plusieurs reprises. Codex 632 – le Secret de Christophe Colomb s’avère donc plus soft au niveau des péripéties de son héros, et se concentre sur l’étude passionnante des mystères entourant la vie de Christophe Colomb! On va remonter le temps au gré des archives fouillées par Noronha, qui va enquêter de manière minutieuse en cherchant la vérité à travers toute une masse de documents, certains authentiques, d’autres falsifiés… Ce roman compile de très nombreuses heures de travail, pour nous livrer un point de vue hypothétique mais hautement plausible, qui a le mérite d’être sacrément documenté et pertinent!

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On plonge dans l’Europe du XVème siècle, où la suprématie est portugaise et espagnole. Les deux puissances politiques et culturelles cherchent à se partager le monde, et l’exploration maritime est la clé de cette bataille entre les deux pays, avec comme enjeux des territoires inconnus à coloniser. La fameuse route des Indes est un élément majeur et historique, et le fameux voyage de Colomb et sa découverte de l’Amérique en 1492 est d’une importance capitale. Mais jusqu’à quel point ce périple aura-t-il été une affaire d’état, et quels mystères recèlent encore aujourd’hui ce voyage? C’est à ces questions importantes et qui pourraient bien redéfinir l’Histoire que va tenter de répondre le romancier!

José Rodriguez Dos Santos est un écrivain qui a le talent nécessaire pour faire apprécier à tout le monde des thématiques qui paraîtraient ésotériques chez d’autres! Sa façon de vulgariser la science et l’histoire permet de plonger avec un vrai plaisir dans des matières que l’on n’oserait pas aborder si l’on n’était pas aussi bien accompagné!

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