Les news de la semaine : Bloodhood Gong

Si le revival de Beverly Hills avait suscité une certaine curiosité, la tenue de ce BH90210 démontrait bien l’unique aspect pécuniaire de la chose… Et les producteurs de Sauvés par le Gong se sont dit : tiens, si on faisait la même chose? Du coup, on va avoir droit à un Saved by the Bell version 2020, mais avec seulement 2 survivants! Mario Lopez (qui avait fricoté avec Deadpool il y a 5 ans ^^) alias A.C. Slater, et Elizabeth Berkley dans le rôle de Jessica Spano. J’ai regardé la bande-annonce histoire de voir si ça pouvait donner quelque chose, mais je crains bien que non… Je vous la dépose ici, histoire que vous vous fassiez votre propre opinion du truc! ^^


 

Ah tiens, j’ai également appris que Punky Brewster aurait une suite! Avec toujours Soleil Moon Frye dans le rôle! Voilà voilààààà!

 

Sinon on poursuit les décalages de sorties de films, avec de nouvelles dates pour Venom 2 (25 juin 2021, et en Anglais il s’appellera Venom : let there be Carnage ^^) le 3ème volet des aventures de Spider-Man (5 novembre 2021), Doctor Strange in the Multiverse of Madness (25 mars 2022), et Thor : Love and Thunder (11 février 2022). Le film d’animation Spider-Man : into the Spider-Verse 2 n’y échappe pas non plus, et est calé au 7 octobre 2022. Bon, ben la 7ème saison de Marvel : les Agents du S.H.I.E.L.D. et Black Widow seront les seuls représentants du MCU cette année sur les écrans!!! A moins que Les Nouveaux Mutants débarquent enfin, sur Disney+ par exemple??

 

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Tyler Rake (Sam Hargrave, 2020)

Tyler Rake (Extraction en VO) doit beaucoup au Marvel Cinematic Universe, et pas seulement à cause de la présence de Chris Hemsworth. Ce film est basé sur un roman graphique illustré par Fernando León González, et rédigé par Ande Parks, et un certain Anthony Russo ainsi qu’un certain Joe Russo. Les frangins Russo sont des fans de comics depuis leur enfance, et ils ont eu l’opportunité de travailler sur cette oeuvre nommée Ciudad qui a été publiée en décembre 2014. C’est la même année qu’ils nous livraient leur première réalisation pour Marvel Studios, avec Captain America : le Soldat de l’Hiver. On connaît la suite : Captain America : Civil War, Avengers : Infinity War et Avengers : Endgame, merci les gars !!!

Ciudad situait son action au Paraguay, où le mercenaire Tyler Rake devait sauver la fille d’un baron de la drogue brésilien. Ici, l’action a été délocalisée, car Tyler Rake doit sauver le fils d’un baron de la drogue indien, prisonnier d’un concurrent au Bangladesh. Et pour garder un pied dans le MCU, on embauche Sam Hargrave, dont c’est le premier long métrage après 5 courts, mais qui a une carrière déjà bien fournie en terme d’action. Il a fait partie des équipes secondaires de tournage sur Suicide Squad, Mr Wolff, Atomic Blonde, Avengers : Infinity War, Deadpool 2 et Avengers : Endgame, rien que ça! Et il est également cascadeur, avec à son actif : Pirate des Caraïbes – le Secret du Coffre maudit, Transformers, X-Men Origins : Wolverine, Green Lantern, Avengers, Wolverine : le Combat de l’Immortel, Hunger Games : l’Embrasement, les 4 films des frangins Russo et ceux auxquels il a participé en tant que metteur en scène de la seconde équipe cités plus haut! Un palmarès impressionnant dans le blockbuster, et un parcours similaire à celui de David Leitch, le réalisateur de Deadpool 2!

On est donc entre amis avec ce Tyler Rake, qui va propulser Thor dans une mission terriblement périlleuse afin de récupérer un « paquet » important : le fils d’un baron de la drogue, kidnappé par un puissant rival. Il doit donc se rendre au Bangladesh pour procéder à l’extraction, mais tout ne va pas se passer comme prévu, et il va devoir faire preuve d’un sang-froid monumental et puiser dans toutes ses ressources pour tenter de mener sa mission à bien. Le choix de situer l’action dans l’Asie du Sud permettait de mettre en lumière la situation au Bangladesh, un des pays les plus pauvres au monde, et quasiment jamais représenté au cinéma. Cette incursion est à la fois innovante et choquante, avec une vision très frontale de la situation du pays.

En terme d’action, Tyler Rake commence très efficacement en nous livrant des combats vifs et où les impacts sont très violents. On sent que Sam Hargrave est un adepte de The Raid et The Raid 2, même s’il est quand même loin du niveau de Gareth Evans! Mais il y a un soin bien réel apporté aux séquences de combats, et on ressent le caractère d’urgence ainsi que la force de frappe des protagonistes. Hargrave se permet même un plan-séquence très bien foutu, qui enchaîne les locations et les méthodes de combat avec une très belle vitalité! Ca, il a dû l’apprendre sur le plan-séquence d’Atomic Blonde, et il s’avère même un poil plus efficace que celui de Charlize Theron!

Chris Hemsworth, que l’on a l’habitude de voir en mode comique dans les films Avengers, campe ici un héros bien moins enjoué et qui est constamment aux aguets pour survivre. L’acteur australien démontre une fois encore la variété de sa palette de jeu, avec ce personnage secret et pourtant chargé en émotions. Il fait de Tyler Rake une sorte d’anonyme bien plus important que ce qu’il croit être, et parvient en plus à s’inscrire très efficacement dans les scènes d’action d’Hargrave, auxquelles il procure une belle crédibilité. Hemsworth est un acteur à la fois très physique, et capable de dévoiler les tourments intérieurs de ses personnages avec subtilité.

Pour en revenir à la dure réalité du pays, Tyler Rake va s’avérer très frontal dans sa vision des enfants-soldats, puisque Tyler va devoir en combattre directement, et voir Thor foutre des mandales à des gamins, ça fait très bizarre… Mais le film respecte la triste réalité du pays, dans lequel les criminels utilisent des mômes pour faire leurs basses besognes. Sam Hargrave choque à plusieurs moments, ce qui confère une dimension là encore intéressante à son film.

Tyler Rake impressionne vraiment durant sa première moitié, mais va ensuite renouer avec certaines conventions du cinéma d’action. Si les séquences seront toujours généreuses, elles perdront une certaine inventivité au profit d’un classicisme que l’on n’attendait pas au vu de ce qui était proposé au départ. C’est un peu comme si on avait laissé la seconde équipe se charger de la seconde moitié du métrage… Le scénario est signé Joe Russo, qui adapte donc le roman graphique rédigé avec Ande Parks et son frère Anthony Russo, et on sent qu’à un point, on tombe dans une certaine facilité scénaristique, avec notamment l’apport d’un personnage dont la fonction est rapidement grillée. C’est un peu dommage de ne pas avoir suivi l’effervescence des débuts, mais Tyler Rake reste une belle proposition dans le domaine de l’action, et s’avère compétitif dans le domaine.

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Free Solo (Jimmy Chin, Elizabeth Chai Vasarhelyi, 2018)

Jimmy Chin est un adepte de l’escalade, à laquelle il a consacré plusieurs documentaires: Reel Rock 7 en 2012, Meru en 2015, et ce Free Solo en 2018. Elizabeth Chai Vasarhelyi s’est intéressé à la politique, avec des docs consacrés à l’après-guerre au Kosovo (A normal Life en 2003), à la musique (Youssou Ndour : I bring what I love en 2008), à l’Islam au Sénégal (Touba en 2013), ou encore à la crise due au président Abdoulaye Wade au Sénégal (Incorruptible en 2015). Mais elle avait déjà croisé la route de Jimmy Chin, puisqu’ils avaient co-réalisé Meru, leur première collaboration sur le monde de l’escalade.

Jimmy Chin avait déjà rencontré Alex Honnold pour Reel Rock 7 (il apparaîtra également dans 3 autres épisodes de cette série de films documentaires) qui suivait plusieurs adeptes de l’escalade. Free Solo sera totalement centré sur Honnold, cet Américain dont le but est de gravir des sommets dans le mode le plus difficile et dangereux pour un grimpeur, le solo intégral (free solo). Sous cette dénomination se cache un fait tout simple : il s’agit d’effectuer l’ascension seul et sans être encordé. La moindre erreur est dans ce cas fatale!

On va découvrir un jeune homme passionné depuis son plus jeune âge, et pour qui l’escalade s’est imposée comme une évidence, comme une nature profonde. Alex Honnold fait partie de ces sportifs pour qui la méthode est une extension de ce qu’il est, et qui serait incapable de vivre sans cette pratique. Quand on parle de fusion avec les éléments, avec la roche brute et la nature environnante, ce n’est clairement pas exagéré dans son cas. Alex Honnold est un solitaire pour qui l’existence n’a de véritable sens que lorsqu’il grimpe, ce qui peut évidemment occasionner quelques incompréhensions sociales. Le documentaire va nous dévoiler des pans de son passé, afin de nous faire comprendre la nature profonde de cet être à part. Chin et Vasarhelyi vont s’intéresser à l’exploit que prépare Honnold, mais de manière très complémentaire, vont chercher à percer également son mode de fonctionnement et sa vision du monde.

Vouloir grimper des sommets parmi les plus difficiles au monde sans aucune sécurité, cela peut relever de la folie, de la recherche de la proximité la plus pure avec la nature, ou d’un besoin viscéral de se sentir vivant. Free Solo va nous amener sur des pistes intéressantes en dévoilant l’intimité d’Honnold, et on va peu à peu comprendre et adhérer à sa vision du monde. Chin et Vasarhelyi progressent par touches successives afin que le spectateur prenne le temps de cerner ce personnage hors normes, qui vit dans un van et qui se plaît dans sa solitude. La relation qu’il va entamer avec la pétillante Sanni va d’ailleurs avoir des effets sur l’armure qu’il porte constamment.

Honnold prépare l’ascension en solo intégral d’El Capitan, une paroi rocheuse monumentale de 900 mètres située dans la vallée de Yosemite. Il va pour cela effectuer de très nombreux repérages encordés, faire beaucoup de tests, et minutieusement préparer le trajet qu’il devra emprunter. Plusieurs voies permettent d’accéder au sommet, et il va sélectionner les différents passages nécessaires pour une montée sans corde. On va d’ailleurs le voir un moment se poser la question de la pertinence d’un saut pour attraper un rebord situé plus à gauche! Le projet est juste démentiel, et le voir réfléchir tranquillement à sa faisabilité en voyant le vide derrière lui, c’est vraiment trippant!

Jimmy Chin et Elizabeth Chai Vasarhelyi optent pour une approche très fluide et naturelle, qu’il s’agisse de suivre Honold dans sa vie « civile » ou dans son quotidien en montagne. Il y a un profond respect pour ce personnage situé en marge, et pour l’exploit qu’il souhaite réaliser. On voit à plusieurs reprises Chin ainsi que des membres de l’équipe de tournage, qui émettent des doutes et qui s’avèrent réellement touchés par la dimension de ce qu’Honnold compte effectuer. Mais là où lui semble totalement imperméable à la peur, on sent un stress de plus en plus palpable dans l’équipe. C’est là également un point très intéressant du documentaire, avec cette tentative de comprendre comment Honnold gère sa peur. Il semble très pragmatique, et capable de totalement se détacher de cette émotion, et là encore, on va comprendre pas mal de choses en parlant de son passé, mais aussi en effectuant un test scientifique.

Les images proposées par Chin et Vasarhelyi sont juste sublimes, se voulant à la fois proche d’Honnold tout en respectant sa zone de concentration. Car là se pose un autre problème : comment le grimpeur peut-il effectuer son ascension de la manière la plus optimale avec une équipe de tournage dans les pattes? La question est fondamentale et me semble presque similaire à l’observation dans le domaine quantique : l’observateur n’est pas neutre, et a une influence sur les ondes/particules observées. Et cet être si particulier qu’est Honnold, qui semble fonctionner sur des ondes qui lui sont propres, sera-t-il perturbé par ces observateurs extérieurs? Cette problématique de l’observation s’avère être un élément très passionnant également dans Free Solo, et démontre en même temps une certaine humilité dans l’équipe, qui va exprimer ses sentiments face à ce défi incroyable.

La beauté des lieux est à couper le souffle, et est magnifiée par les caméras des 2 réalisateurs. Ils semblent jouer tellement facilement avec l’apesanteur, là où les lois de la gravité sont pourtant les plus dangereuses. Cette capacité à suivre la progression d’Honnold tout en respectant la distance nécessaire, et les liens qui se créent entre lui et l’équipe, tout cela fonctionne vraiment bien, mais le doute est toujours présent : parviendra-t-il à réussir sa tentative? On est pris dans le vertige viscéral de ce que prépare Honnold, et on ne peut qu’être hypnotisé par ce qu’il va tenter!!!

Free Solo est un documentaire passionnant et captivant, qui nous présente un être résolument à part, qui cherche au final la même chose que tout un chacun : vivre, ressentir l’existence dans ce qu’elle a de plus grand, et il le fait à sa manière, en se préparant à des défis physiques et mentaux incroyables! Alex Honnold est une sorte de guerrier de l’existence, ses batailles sont toutes personnelles, et pourtant il parvient à nous faire vibrer et trembler avec lui !!!

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Le(s) clip(s) de la semaine : At the Movies

Chris Laney est un musicien suédois (membre de Pretty Maids) qui a décidé de faire de la musique en groupe malgré le confinement. Il a convoqué plusieurs amis musiciens et son projet At the Movies est vraiment cool! Ils ont lâché pour l’instant 2 reprises sacrément bien foutues, avec No easy Way out issue de Rocky IV et Maniac provenant de Flashdance! Franchement ça a de la gueule, je vous laisse écouter !

 

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Devs saison 1 (2020)

Le Britannique Alex Garland est connu pour avoir rédigé le roman La Plage, qui sera adapté par Danny Boyle avec Leonardo DiCaprio. Il a ensuite travaillé avec Boyle sur les scénarios de 28 Jours plus tard et Sunshine, et il a également oeuvré à ce poste pour l’excellent Dredd. Il s’est ensuite lancé dans ses premières mises en scène, tout en gardant le contrôle sur l’écriture, avec Ex Machina et Annihilation. Devs est sa première incursion dans le monde des séries, et est une réussite absolument brillante !!!

Lily Chan travaille pour la société technologique Amaya, et va être confrontée à la mort de son petit ami, qui était employé par la même compagnie et qui venait d’être affecté au département Devs. Elle va rapidement se rendre compte que sa mort est liée à cette récente mutation, et va se lancer dans une enquête dangereuse et qui modifiera profondément sa vision du monde.

Alex Garland nous avait déjà prouvé son attraction pour la thématique des déviances scientifiques avec Ex Machina, et son questionnement prend des proportions encore plus vastes avec Devs. Lily Chan est confrontée au deuil, et ne va pas avoir le temps de s’apitoyer car elle va remonter le fil d’un meurtre qui relie son petit ami à des expérimentations inédites. Le plus grand secret entoure les recherches effectuées dans le bâtiment Devs, qui est le centre névralgique et la raison d’être de la société Amaya. Forest est une sorte d’Elon Musk dépressif, dirigeant ses labos avec une froide détermination qui s’est construite dans un passé difficile. Ses recherches basées sur la physique quantique vont ouvrir des possibilités inexplorées jusqu’alors, et il va tout mettre en oeuvre pour qu’elles aboutissent.

Devs baigne dans une atmosphère d’avancée technologique à la fois envoûtante et dangereuse, et on va découvrir un bâtiment visuellement bluffant! La manière dont Garland nous présente les recherches est un mélange d’espoir et de peur, le tout cristallisé dans les lumières changeantes de ce bloc perdu en pleine forêt, et qui semble pulser d’une vie presque autonome. Il y a une beauté inquiétante et magnifique à voir ce lieu où différents analystes passent jours et nuits à tenter de décrypter un code qui pourrait bien faire toute la différence… La musique joue un très grand rôle également, et les compositions de Geoff Barrow, The Insects et Ben Salisbury sont indissociables de la mise en scène de Garland. Les musiques additionnelles sont tout aussi captivantes, choisies avec un soin très particulier et prolongeant cette plongée inquiétante dans Devs!

L’actrice japonaise Sonoya Mizuno avait déjà travaillé avec Alex Garland sur Ex Machina et Annihilation, et on a pu l’apercevoir aussi dans La La Land ou La Belle et la Bête. Elle joue une jeune femme complexe qui tente de ne pas sombrer après le décès de son petit ami, et qui va lutter de toute ses forces pour tenter de comprendre pourquoi il a été tué. Nick Offerman (les séries Parks and Recreation, Fargo) campe le directeur d’Amaya, en mêlant avec une belle intensité la froideur d’un dirigeant et l’émotivité d’un homme rongé par le passé. A leurs côtés gravite une dizaine de personnages qui vont être également pris dans ce maelstrom terriblement dangereux et captivant!

Alex Garland parvient à faire de Devs une création unique et incroyablement brillante, qui révèle ses secrets au fur et à mesure des épisodes, et de laquelle on ne parviendra pas à décrocher avant l’ultime seconde. La construction de cette série est d’une très belle complexité, et va nous mener dans des directions insoupçonnées tout en usant d’une intensité visuelle juste sublime. Garland élabore ses épisodes comme un ensemble qui rend l’immersion totale, et on va être happé par toutes les implications de ce projet hors normes.

Si Garland propose une immersion totale dans une expérimentation complexe, il n’en oublie pas la psychologie humaine, et applique une complexité tout aussi prenante dans les interactions entre les personnages. Rarement on aura vu des rapports aussi étranges entre diverses factions, Lily se retrouvant dans des positions bien inconfortables et troublantes avec ses ennemis. Sa relation avec Jamie est également très troublante et est aussi l’une des forces de ce show. On est constamment dans des propositions différentes, qui vont amener le spectateur à se projeter d’une très belle manière dans cette enquête des plus captivantes! Garland va parler à nos peurs et espoirs les plus profonds, il va nous confronter à des dilemmes successifs, et il va nous embarquer dans une histoire des plus étranges et terriblement addictive!

Alex Garland écrit mais réalise également, et use d’une mise en scène sublime qui parvient à cristalliser les émotions des personnages et leurs peurs. Les séquences présentant certains choix sont juste magnifiques d’ailleurs… Garland est capable de filmer l’intangible et sa mise en scène est ultra-sensitive. Dans Devs, les protagonistes vont se démener pour se sortir de situations qui les dépassent, mais dont ils veulent à tout pris avoir l’entièreté des réponses. Comment la compréhension de ce projet peut-il se rendre accessible à l’être humain?

Devs est une pépite inattendue et résolument brillante, soulevant des questionnements métaphysiques intemporels, et qui apporte des réponses fascinantes!

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