Jumanji: Bienvenue dans la Jungle (Jake Kasdan, 2017)

Une suite à Jumanji 22 ans plus tard (le film date de 1995), avec Dwayne Johnson en tête d’affiche? La BA laissait en tout cas augurer d’un très bon trip tropical, où l’humour et l’action semblaient coexister de manière plutôt efficace! The Rock est en terrain connu, puisqu’il avait déjà arpenté les recoins dangereux de la jungle dans le bien nommé Bienvenue dans la Jungle en 2003, qui n’a rien à voir avec le Welcome to the Jungle de Jonathan Hensleigh en 2007, ni avec le Welcome to the Jungle avec Jean-Claude Van Damme en 2013!

Le Jumanji originel avec Robin Williams est devenu au fil du temps un film culte, et certains ont crié à l’hérésie en voyant Dwayne Johnson rappliquer pour la suite. Mais le capital sympathie et le charisme de the Rock sont assez larges pour qu’à chaque fois qu’il participe à un film, ça donne vraiment envie d’y jeter un oeil! Il enchaîne les superproductions avec une belle aisance, et rien que cette année, on l’a vu 3 fois au cinéma avec Fast & furious 8, Baywatch: Alerte à Malibu et maintenant ce Jumanji: Bienvenue dans la Jungle! Un rythme effréné qui n’est pas prêt de s’arrêter, puisqu’il a pas moins de 9 projets en cours, dont San Andreas 2, Journey 3: from the Earth to the Moon, Doc Savage, Black Adam, Rampage, et un certain Jungle Cruise, comme quoi, il kiffe vraiment ce climat…

Jake Kasdan, qui a mis en scène Bad Teacher avec Cameron Diaz, est le fils de Lawrence Kasdan, célèbre scénariste hollywoodien qui nous a donné les scripts de L’Empire contre-attaque, Les Aventuriers de l’Arche perdue, Le Retour du Jedi et bien d’autres! Jake Kasdan va nous livrer une aventure familiale bien fun dont le point de départ est très ingénieux, et dans laquelle l’humour s’avère vraiment réussi! Prenez 4 adolescents aux caractères bien différents, et faites-les littéralement aspirer dans un jeu vidéo, ça va donner des séquences vraiment drôles et décalées! Dwayne Johnson en mode auto-parodie est juste énorme, Jack Black a un rôle vraiment drôle (et qui mériterait certainement une vision en VO!), Karen Gillan se lâche totalement avec son personnage, et Kevin Hart fait du Kevin Hart quoi! Les vannes tapent souvent en-dessous de la ceinture, mais sont franchement drôles!

Le seul bémol de ce film est l’utilisation finalement légère de tous les éléments propres à la jungle, car on va assister à des séquences classiques de ce type de film, comme le saut d’une falaise, la traversée d’un couloir truffé de pièges, le vol en hélicoptère etc… Même si on se retrouve dans un lieu à la Indiana Jones, on ne ressent pas la même atmosphère nostalgique des films de Spielberg. La jungle est belle et offre quelques surprises, mais elle aurait pu être utilisée de manière plus approfondie. Mais il y a quelques éléments qui sont intéressants, comme la personnification du bad guy, qui renvoie à quelques vieux méchants de notre jeunesse dans l’esprit fantastique qu’il dégage. Mais ce sont clairement les acteurs qui donnent tout son potentiel au film, chacun s’éclatant dans une veine parodique vraiment communicative! Je n’en dirais pas trop pour vous gâcher la surprise, mais Dwayne Johnson, Jack Black et Karen Gillan sont excellents en mode humour total! Kevin Hart gueule beaucoup comme d’habitude, et il apporte aussi sa note d’humour au film, mais je trouve qu’il se répète film après film. Gillan apprécie toujours le combat, elle qu’on a pu voir bien transformée dans le rôle de Nebula pour les besoins des Gardiens de la Galaxie et des Gardiens de la Galaxie 2! Elle a droit à quelques moments vraiment fun, et prouve qu’elle peut être sacrément drôle!

Si le film est drôle, il est également source de beaux moments d’émotions, ce qui est assez surprenant au vu du côté déjanté de l’ensemble. Cela permet d’apporter une certaine profondeur à ce récit, en nous balançant une critique sur l’utilisation excessive des nouvelles technologies, mais en explorant également les thèmes de l’amitié, de la loyauté, de l’amour et du passage à l’âge adulte avec une belle sensibilité! La réappropriation des thématiques et des gimmicks des jeux vidéos s’avère excellente et très judicieuse, et on va explorer ce monde fantastique aux côtés d’acteurs qui se font un plaisir de nous y convier, faisant de ce Jumanji: Bienvenue dans la Jungle un digne héritier des films de notre enfance!

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Avengers Universe 1: Baptême du Feu

Bon, on recommence avec de nouveaux numéros 1 chez Panini Comics… Ca se fait approximativement tous les 6 mois, donc faut plus trop chercher à comprendre… C’est bien histoire de compliquer la vie des collectionneurs, quand ils cherchent d’anciens numéros… Bref, si on les achète en temps réel, ça va, on s’y retrouve, et ce qui compte avant tout, c’est le contenu, et de ce point de vue-là, cet Avengers Universe 1 est tout simplement excellent!!!

On commence par 2 épisodes d’U.S.Avengers, l’équipe dirigée par Roberto Da Costa étant chargée de contrer les menaces d’ordre planétaire. L’ex-Solar a réhabilité l’A.I.M. pour en faire un organisme à la pointe de la technologie, qui se retrouve sous les ordres directs du S.H.I.E.L.D. Aujourd’hui, le Général Maverick va devoir lutter contre la créature qu’il a lui-même créée à l’époque pour annihiler les New Avengers, qui sont devenus aujourd’hui les U.S.Avengers! Comme il fait partie de la team, il va devoir rattraper son erreur… Il va donc être envoyé au Lichtenbad, un petit pays d’Europe de l’Est limitrophe avec la Latvérie et la Symkarie, pour combattre le Kaiju Américain, un genre de Godzilla mais avec le drapeau US sur la tronche! Et devinez sur qui Maverick va tomber? Ce bon vieux Deadpool, lui aussi transformé en monstre! Al Ewing et Paco Medina font dans le fun et l’action de manière bien décomplexée, et cette rencontre entre Wade et l’Hulk Rouge s’avère bien rythmée!

Da Costa va ensuite rencontrer Captain America, et leur discussion tournant autour de l’affaire Kaiju Américain va dévier… Chacun va se jauger dans un dialogue qui semble bien tranquille de prime abord, et qui va rapidement se tendre… Parallèlement à ça, on va suivre Maverick en mission, Capsule et Iron Patriot dont les rapports sont quelques peu houleux, Rocket en pleine mission dans l’espace… Al Ewing nous convie à un comics de très belle qualité, en parvenant à jouer la carte du suspense et des émotions, tout en baignant dans une atmosphère super-héroïque. Et la conclusion va ouvrir de plein fouet sur le prochain event Secret Empire qui débarquera en kiosque dès janvier!

Jason Aaron nous plonge ensuite dans une toute autre ambiance, avec une aventure à la sauce dark fantasy prenant racine à Nidavellir, la contrée des Nains. Volstagg, le volumineux comparse de Thor (devenu Odinson), vient en aide avec une faction à des elfes expatriés et réfugiés dans les mines des Nains. On sent un côté Seigneur des Anneaux dans cette aventure, qui va prendre des proportions très dramatiques et étonnantes, avec la mort de plusieurs enfants! La noirceur de ce récit impressionne, et prouve que Jason Aaron possède encore tout le talent de conteur qu’on lui connaît! Odinson rencontre Jane Foster qui lui a avoué avoir pris l’identité de Thor, et cette scène s’avère touchante… Mais que dire de Volstagg qui va prendre une décision très importante après n’avoir pas pu sauver ces enfant elfes? Russell Dauterman et Valerio Schiti apportent 2 tonalités différentes à cet épisode, mais en s’ajustant de belle manière à la plume d’Aaron!

Les 3 épisodes qui suivent de Captain America: Sam Wilson sont juste sublimes, rédigés par un Nick Spencer au sommet de sa forme, qui nous convie à un comics très orienté politiquement et qui y gagne une très belle légitimité! Après les événements ayant conduit à l’arrestation de Rage, Sam Wilson a tenté par plusieurs moyens de faire comprendre aux citoyens et aux gens de pouvoir que son ami était innocent. Il a même trouvé une vidéo dans laquelle on assiste au passage à tabac de Rage par les Americops, mais rien n’y fait, et le molosse reste enfermé en prison… Nick Spencer nous livre un point de vue alarmant sur la société moderne américaine, et reprend en comics des événements malheureusement bien réels, avec toute cette vague d’arrestations musclées qui ont causé de nombreux blessés et même des morts dans la communauté afro-américaine. Spencer stigmatise le pouvoir en place et sa justice à 2 vitesses, et encore une fois, ses épisodes font vraiment écho à l’excellent 13th d’Ava DuVernay! Le fait qu’un Captain America noir ne soit pas accepté par tout le monde démontre bien le racisme ambiant qui perdure, et on touche vraiment à un problème fondamental des Etats-Unis! Spencer y va de manière très frontale, et nous livre un comics d’une très grande acuité sociale et à la portée politique impressionnante! Angel Unzueta, Paul Renaud et Daniel Acuna se mettent au diapason de l’auteur pour nous livrer de très belles planches, qui nous balancent des moments d’émotions bien intenses!

David F. Walker clôt ce magazine avec un épisode d’Occupy Avengers qui traite encore une fois d’Hawkeye, et qui le fait de très belle manière! Walker opte dans cette série pour une approche plus réaliste et rurale, et nous convie cette fois à une balade dans l’Iowa profond, Hawkeye s’y rendant avec Tilda Johnson et Red Wolf, ses coéquipiers du moment. L’intrigue est prenante, avec ces habitants qui semblent vouloir protéger un secret important, et qui sont prêts à tout pour cela, et une mystérieuse organisation qui tue des inconnus semblant liés depuis des années à travers les USA. Walker apporte quelques touches d’humour à un comics bien ancré dans le réel, et la révélation finale s’avère excellente, en jouant de manière très intelligente sur l’histoire Marvel.

Bref, cet Avengers Universe 1 est une proposition véritablement impressionnante, qui captive par la capacité des différents auteurs à nous plonger bien profondément dans leurs scénarios prenants!

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Le clip de la semaine: Horskh – Strayed away

Le Horskh nouveau est arrivé, et il devrait radicalement vous dépoussiérer les oreilles!!! Après l’excellent Engaged and confused, les gars de Besac nous balancent un puissant Strayed away dont les sonorités electro et métalliques n’ont rien à envier à un bon vieux NIN! 😉 Toute la fougue de l’indus est représentée de manière bien rageuse par David Fitt, qui signe un clip de très belle facture!

 

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Thelma (Joachim Trier, 2017)

Le metteur en scène Joachim Trier nous livre une oeuvre aux contingences de plusieurs genres, qu’il va entremêler avec un sens de la narration d’une très belle précision, tout en  plaçant ce récit dans un écrin d’une grande beauté. Thelma est un film reposant sur un concept classique, à savoir une jeune femme solitaire qui semble dotée d’un très grand potentiel, et Joachim Trier va nous emmener dans des directions et des sensations étranges… On pense un instant à Carrie au Bal du Diable, mais on va glisser dans une sensibilité différente, et la personnalité envoûtante de la fragile Thelma va se développer au gré de sa nouvelle vie d’étudiante.

Joachim Trier va commencer à nous raconter une très belle histoire d’amour, avec des émotions affleurant grâce à une superbe mise en scène, qui rappelle constamment le monde dans lequel Thelma évolue. Il y a une très grande beauté picturale qui se dégage de chaque plan, et on perçoit l’appartenance de Thelma à son environnement, même lorsqu’elle semble perdre le contrôle. Les perturbations qu’elle ressent lorsque les émotions affluent sont très bien retranscrites, et on vit littéralement ces vagues qui la submergent, et cette peur de voir la maîtrise lui échapper. Joachim Trier met tout simplement en images de manière très prenante le sentiment amoureux et les éléments contradictoires qu’il déclenche, et qui dans le cas de Thelma vont être accentués…

Eilie Harboe, qui a joué dans The Wave, est impressionnante par la justesse de son jeu et l’intensité qu’elle donne à son personnage! Sa douceur et sa fragilité cristallisent les peurs qui la tiraillent, et qui semblent prendre naissance dans un lointain passé. A ce titre, l’intro est glaçante à souhait… Elle va chercher à comprendre ce qui la perturbe autant, tout en essayant tant bien que mal de briser sa solitude et de se faire des amis… Sa relation avec ses parents semble à la fois distante et empreinte d’une certaine tendresse, mais son éducation catholique stricte va se heurter au présent de la jeunesse étudiante. Elle va faire ses propres expériences, se mettre en danger, et tenter de concilier sa vision du monde avec ses aspirations…

Thelma est une sorte de récit initiatique, narrant les changements dans l’existence d’une jeune femme ayant toujours vécu dans un village sans histoires, et qui découvre la richesse d’une grande ville, et les multiples liens sociaux qu’elle pourrait avoir maintenant. Mais les crises qu’elle endure mènent le film vers une dimension plus sombre, car on ne sait pas ce qui les provoque et ce dont il s’agit réellement. Et la force de ses pensées va encore mener le film dans une autre direction, avec un choix narratif toujours centré sur les liens entre l’extérieur et l’intérieur, le monde autour d’elle, et Thelma. En ce sens, ça rappelle également Carrie au Bal du Diable, mais la sensibilité de Joachim Trier est différente de celle de Brian De Palma, et la personnalité envoûtante de Thelma va se retrouver confrontée à des dilemmes ardus, et elle va également se retrouver perdue dans des séquences oniriques impressionnantes.

Il est juste dommage que dans le dernier tiers, Trier opte pour un choix narratif qui amoindrit un peu la portée de son film. Mais Thelma reste une expérience prenante et une proposition très intéressante, que l’on va avoir du mal à cataloguer, ce qui est en soi un signe évident de sa richesse. Joachim Trier est assurément un metteur en scène qu’il va falloir suivre, et Eili Harboe mérite elle aussi de voir sa carrière décoller!

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Les news de la semaine: L.A. Confidential

La rumeur courait depuis de nombreuses semaines, et ne faisait qu’enfler au fil des jours. C’est désormais officiel: The Walt Disney Company vient de procéder au rachat d’une très grande partie de la 21st Century Fox, pour une somme astronomique de 52,4 milliards de dollars!!! On est bien loin des montants déboursés par Disney lors des rachats de Marvel Entertainment en 2009 (4 milliards) et de Lucasfilm en 2012  (4 milliards également), et cette transaction est vertigineuse à plusieurs niveaux!!!

Ceux qui rêvaient de voir un jour les X-Men s’associer ou s’opposer aux Avengers sur grand écran doivent être ravis, puisque les licences mutantes sont désormais dans les mains de Disney, tout comme les franchises Avatar et Alien d’ailleurs, ainsi que Les Simpson. Du côté de la télévision, Disney détient dorénavant 60% de la plate-forme de diffusion Hulu (sur laquelle on peut actuellement regarder la série Runaways issue du catalogue Marvel), la totalité de la chaîne FX (American Horror Story) et la totalité de National Geographic. Seuls Fox News et quelques canaux dédiés à l’information sont exclus de ce deal.

Ce qui apparaît comme un coup de maître de la part du studio aux grandes oreilles est pourtant assez alarmant, puisque il ne reste maintenant que 5 studios majoritaires à Hollywood: Paramount, Sony, Universal, Warner et Disney! Au niveau du box-office, Disney devrait engranger un peu plus de 30 % des recettes totales avec cette main-mise… On oublie l’image du gentil Mickey souriant, ça ressemble davantage à Thanos qui étend son empire grâce au Gant de l’Infini… Il va maintenant falloir suivre ça de très près, pour espérer que les récentes réussites cinématographiques de la Fox comme Deadpool et Logan ne soient pas sacrifiées sur l’autel de la rentabilité, et que les auteurs parviendront encore à proposer des longs métrages innovants dans ce contexte de monopole des plus alarmants… La concurrence est souvent ce qui permet de générer des idées, et l’omnipotence d’un studio n’est pas forcément un bien… Espérons que les auteurs et les spectateurs n’en pâtissent pas… En tout cas, le PDG Bob Iger peut dormir sur ses 2 oreilles, il a certainement conclu le deal du siècle dans l’univers de l’entertainment… Il a tout de même réagi rapidement en expliquant qu’il restait favorable à des films Marvel classés R, et qu’ils allaient respecter les franchises déjà existantes comme X-Men, Deadpool ou Avatar.

 

Deadpool réagit lui aussi très rapidement, en twittant une photo on ne peut plus explicite! Quand Wade se fait éjecter de Disneyland par un agent de sécurité nommé Stark, c’est plutôt significatif! ^^ Ryan Reynolds est vraiment un mec génial!!!

 

Mais pour terminer sur une note optimiste, on compte énormément sur Kevin Feige, le big boss de Marvel Studios, pour parvenir à donner une véritable cohérence à tout cela, avec un univers cinématographique Marvel qui va forcément s’agrandir. On lui souhaite d’avoir l’audace de maintenir les spécificités de chaque camp (Avengers, X-Men, les 4 Fantastiques) pour créer un univers global des plus riches, et non pas édulcorer les nouveaux venus pour qu’ils se plient au cahier des charges du MCU. On croise très fort les doigts, allez au boulot!!! 😉

 

Et pour vraiment clore le sujet (pour l’instant!), on termine avec une infographie tout droit venue de The Geek Twins qui clarifie la situation concernant les droits des personnages issus des comics Marvel. On voit d’ailleurs que le cas de Miss Hulk est bien plus épineux que celui de son cousin, puisqu’elle est à 100% détenue par Universal! Les cas de Namor et Wilson Fisk sont eux aussi difficiles, tiraillés entre 2 studios…

 

Si Sony n’a pas osé faire le transfert entre Peter Parker et Miles Morales dans son Spider-Man: Homecoming, le studio effectuera bien la transition dans le domaine de l’animation, avec le long métrage Spider-Man: into the Spider-Verse prévu sur les écrans le 14 décembre 2018! On découvrira donc l’Ultimate Spider-Man dans ce film de Bob Persichetti et Peter Ramsey, qui va explorer plus avant le catalogue Marvel! Cela va être très intéressant de voir comment cette oeuvre va être reçue, et s’il est enfin temps de laisser apparaître des personnages plus confidentiels au cinéma! 😉 La BA est bien vertigineuse et enthousiasmante en tout cas, et devrait permettre à Miles (actuellement membre des Champions dans les pages d’Avengers) de se faire connaître du grand public! Le soin apporté à la mise en scène a l’air bien dingue en tout cas, et on ressent littéralement les liens entre la mégapole new-yorkaise et Spider-Man!

 

 

Dans le domaine live, Jon Watts est bien reconduit derrière la caméra pour l’Untitled Spider-Man: Homecoming Sequel! Tom Holland reprendra évidemment le rôle-titre, et Jacob Batalon rempilera dans la peau de Ned Leeds! Soyez patients, c’est prévu pour le 5 juillet… 2019!

 

Jessica Jones annonce son retour fracassant avec un teaser qui fait envie! La Defender revient donc le 8 mars prochain!


 

Dwayne Johnson est omniprésent! Alors que son Jumanji: Bienvenue dans la Jungle débarque ce 20 décembre, on se prépare déjà au blockbuster suivant avec une nouvelle image de Rampage! The Rock ne semble nullement impressionné par le gorille albinos géant répondant au doux nom de George, et on découvrira leurs aventures dantesques et destructrices le 2 mai 2018!

 

Je ne sais pas vraiment quoi penser de Ready Player One… La 1ère bande-annonce de ce film de Steven Spielberg m’avait clairement laissé de marbre, mais la seconde est bien mieux emballée, que ce soit visuellement ou au niveau du score musical. Maintenant, j’ai quand même peur que le mélange de toutes ces références 80’s soient balancées dans un mix indigeste… A suivre dès le 28 mars 2018.


 

On en sait un peu plus sur Venom, puisque l’adaptation par Ruben Fleischer se basera sur 2 arcs narratifs classiques pour le Symbiote: on a d’une part Lethal Protector datant de 1993, et qui voyait Eddie Brock déménager à San Francisco après avoir fait une trêve avec Spider-Man. Etant pourchassé par une organisation désireuse de s’approprier le pouvoir de l’organisme extraterrestre, il va devoir lutter contre 5 nouveaux Symbiotes issus de l’originel. Le 2ème arc est La Planète des Symbiotes, qui voit les 5 créations (Scream, Phage, Riot, Lasher et Agony) semer le chaos sur une planète peuplée de Symbiotes. Hmm, ça va être compliqué d’articuler ces 2 récits en un seul film… On va bien voir où ils vont couper et comment ils vont effectuer les transitions entre tout ça. Par contre, on ne parle plus de Carnage, et ça c’est bien dommage!!!

 

Après le succès de The Punisher, on apprend cette semaine que la série est reconduite pour une seconde saison. Jon Bernthal ira donc encore casser des nuques, et on ne va pas s’en plaindre!

 

Wade encore, avec un nouveau poster bien parodique pour Deadpool 2! ^^

 

En bref, j’ai vu I wish – faites un Voeu, une série B horrifique plutôt sympa, mise en scène par John R. Leonetti (Annabelle), et dans lequel on retrouve en guest-star Sherilyn Fenn, qui avait fait les belles heures de Twin Peaks à l’époque! Une histoire de boîte magique capable d’exaucer vos voeux, mais évidemment, il y a toujours un prix à payer pour ça… Classique mais plaisant!

 

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