Creed: l’Héritage de Rocky Balboa (Ryan Coogler, 2015)

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Après Fast & furious 7 et Star Wars: le Réveil de la Force, c’est un nouvel épisode 7 qui arrive sur les écran avec Creed: l’Héritage de Rocky Balboa! Hollywood ne peut pas se passer de ses classiques, tentant de convaincre chaque nouvelle génération de découvrir d’anciens univers! Creed: l’Héritage de Rocky Balboa est un passage de flambeau, qui voit un Rocky vieillissant aider Adonis Johnson, le fils de son meilleur ami/ennemi Apollo Creed, afin qu’il parvienne un jour à atteindre son rêve, celui d’être le meilleur boxeur du monde!

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Je ne suis pas un fan de la saga, qui je trouve souffre d’un personnage principal trop naïf. Rocky Balboa, avec son air constamment triste et sa retenue permanente, n’est pas le plus badass des boxeurs. Mais il y a un aspect nostalgique véhiculé à travers ces films, qui fait que l’on passe généralement un bon moment en les regardant, avec ce plaisir de replonger dans une époque lointaine et révolue. C’est d’autant plus difficile de produire un film supplémentaire (comme ça avait été le cas avec Rocky Balboa en 2006), sachant que le film ne peut pas se permettre de reposer entièrement sur cet aspect nostalgique. Du coup, pour ce 7ème opus, les producteurs ont choisi de donner leur chance à un nouveau personnage, tandis que Rocky Balboa est transféré au second plan. Un choix pas forcément évident, mais très crédible vu l’âge de Sylvester Stallone (69 ans). En faire un mentor et un coach est une suite logique, et si le personnage est trop vieux pour remonter sur un ring, il a tout le talent nécessaire pour former la nouvelle garde.

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On va donc découvrir un Adonis Johnson jeune et au tempérament fougueux, à l’enfance plutôt rude et qui va un jour avoir l’occasion de changer de vie. La caractérisation du personnage va se faire très rapidement et sans perdre d’explications, on va découvrir un jeune homme motivé pour le combat, mais qui ne sait pas trop comment exploiter à fond ses capacités. Sa venue à Philadelphie va lui permettre de rencontrer Rocky Balboa, qui va accepter de devenir son coach afin d’entrer dans le circuit professionnel. Michael B. Jordan, acteur fidèle que l’on a vu 2 fois chez Josh Trank (dans Chronicle et Les 4 Fantastiques) et 2 fois chez Ryan Coogler (dans Fruitvale Station et ce Creed: l’Héritage de Rocky Balboa donc), a la lourde tâche de donner vie à celui qui est finalement une extension du personnage mythique de Rocky. Il traîne avec lui le poids de l’ombre de son père, et essaie de cacher ce lien de parenté afin de pouvoir montrer au monde ce qu’il vaut par lui-même. Un problème assez similaire à celui de Robert Balboa, le fils de Rocky dans Rocky Balboa.

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Tout comme la plupart des films de la saga, la partie purement sportive ne constitue pas l’élément central du film, qui va surtout traiter des interactions entre les différents personnages hors du ring. Les Rocky ont toujours été des instantanés d’une certaine classe sociale, des quartiers pauvres aux quartiers huppés selon les films, et qui montrent l’ascension et les difficultés d’un champion pour se faire sa place et pour la conserver. Creed: l’Héritage de Rocky Balboa va appliquer une recette similaire qui va nous faire suivre l’ascension d’Adonis, avec pour l’épauler un Rocky dont les plus belles années sont derrière lui. Entre un Rocky sage et philosophe, et un Adonis au tempérament bouillonnant, chacun va apporter à l’autre un peu de sa manière de voir le monde, et quelques éléments en plus pour l’affronter. S’il y a un certain intérêt à voir cette rencontre, il faut bien avouer que ça reste très lisse pendant un bon bout de temps, l’histoire se déroulant sans vraiment prendre de relief.

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Michael B. Jordan s’est sculpté un corps dans le roc pour ce rôle, et il a le physique nécessaire pur incarner le fils d’Appolo. Mais sa personnalité aurait gagné à être approfondie, même si celle d’Apollo n’était pas spécialement travaillée à l’époque. Sa rencontre avec une belle artiste (Tessa Thompson) va ouvrir un peu son personnage, mais là encore sans trop faire de vagues. Le personnage de Bianca avait pourtant de quoi être bien plus développé… Et puis il est très difficile de passer après La Rage au Ventre, qui a selon moi redéfini les codes du film de boxe de manière magistrale l’an passé! Antoine Fuqua a mis en scène une oeuvre viscérale du début à la fin, et l’interprétation de Jake Gyllenhall est d’un investissement physique et psychologique démentiel!

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Mais d’un coup, sans que l’on s’y attende, on est pris aux tripes au détour d’une scène, un putain de moment émouvant comme il en existe rarement au cinéma. Un plan visuellement banal, mais habité par un Sylvester Stallone qui enfin laisse exprimer son personnage. Il sort juste un dialogue d’une simplicité touchante, et il nous donne envie de chialer en un instant. Ce moment où le passé et le présent se rejoignent est crucial pour Rocky, et est juste sublime, empli d’une sensibilité et d’un naturel qui vous foutent à terre.

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Ryan Coogler réalise donc son second long métrage, après Fruitvale Station en 2013, et il nous offre quelques beaux moments sportifs, comme avec ce combat filmé en plan-séquence et qui offre une immersion totale du spectateur, qui plonge dans le ring et tourne avec les boxeurs! Ou bien évidemment le combat final, point d’orgue de chaque film de la saga, et qu’il a assuré de manière vraiment très efficace! Avec encore une fois un plan-séquence extrêmement bien travaillé, et qui ouvre sur un combat là encore tourné avec une inventivité bien immersive! On a tellement de différences dans un même film, qu’il est difficile de le juger. Il y a des moments réellement sublimes, et tellement de longueurs malheureusement… Bon, la majeure partie des gagnants du jeu Talking Wade, avec qui on est allé voir l’avant-première jeudi soir au Kinépolis Mulhouse, a adoré ce film, et on est que 2 à être resté sur notre faim, et d’autant plus déboussolés après s’être pris quelques moments si intenses… Mais ma préférence va sans conteste à La Rage au Ventre, que je trouve bien plus cohérent et puissant! C’est finalement le personnage de Rocky Balboa qui s’avère être le plus intéressant dans ce film, et il nous offre quelques scènes qui valent d’être découvertes…

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Police Story (Jackie Chan, Chi-Hwa Chen, 1985)

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(Edit : le film n’a pas été réalisé seul par Jackie Chan, mais il l’a mis en scène avec l’aide de Chi-Hwa Chen)

Tandis qu’en Occident, Arnold Schwarzenegger décime une armée à lui tout seul dans Commando, que Sylvester Stallone affronte des vilains Vietcongs dans Rambo II: la Mission et Ivan Drago dans Rocky IV, une riposte orientale se prépare grâce à un Jackie Chan qui a essuyé quelques déconvenues au pays de l’Oncle Sam, son expérience américaine ne lui ayant pas permis d’atteindre la célébrité qu’il escomptait. Après Le Flic de Hong Kong, Le Retour du Chinois, Xia Ri Fu Xing et First Mission, il enchaîne avec Police Story son 5ème film de l’année!!! Et en plus d’en être l’acteur principal, il assure aussi l’écriture et la mise en scène de ce Police Story, amené à être le premier film d’une saga importante dans sa filmographie!

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Ce film contient quelques scènes figurant parmi les plus emblématiques de ce que cet acteur-cascadeur de génie nous a offert en 50 ans de carrière, à commencer par cette fameuse séquence de poursuite automobile en plein bidonville, et qui voit la destruction totale de ce dernier! Et comme si cette scène bien dingue ne suffisait pas, Jackie Chan (qui joue le flic Chan Ka Kui) enchaîne avec la poursuite d’un bus totalement dingue elle aussi! L’entame du film est réellement impressionnante, et on est plongé d’emblée dans un maelstrom d’action survitaminé!

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La suite va faire retomber un peu la tension, et on va se diriger vers quelque chose de plus léger, avec cette propension à la comédie de Jackie Chan, qui parfois peut atteindre le génie (le non-sens de cette scène de moonwalk improvisé!) ou parfois plomber ses métrages. Ici, ça passe plutôt bien, même si certaines séquences tirent en longueur, mais on sent qu’il a hérité d’un certain sens esthétique et un jeu très visuel provenant du cinéma muet. Il y a une réelle filiation entre Chan et Buster Keaton, avec son personnage de flic qui se retrouve parfois dans des situations qui le dépassent, mais surtout grâce à ses prouesses physiques desquelles ressortent toujours des traits d’humour très travaillés!

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Jackie Chan est aux arts martiaux ce que Buster Keaton était au cinéma muet: un novateur, toujours à la recherche d’un point de vue original, d’une chorégraphie qui n’avait jamais encore été osée, avec la même envie: surprendre le spectateur en lui offrant un spectacle drôle et rythmé, afin de l’amener là où il ne s’attendait pas à aller! Quand on voit le travail que représente les chorégraphies martiales qu’il présente dans ses films, et qui mêlent action et humour de manière indissociable, on ne peut s’empêcher de penser à ce qu’aurait donné un duo si ces deux-là avaient vécu à la même époque et s’étaient croisés…

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Jackie Chan est un maître du kung fu, et la manière dont il personnalise son art est véritablement impressionnante! Les combats qui rythment Police Story font appel à toute son imagination pour créer des séquences délirantes où il va se servir de tous les éléments à sa disposition pour vaincre ses ennemis. La manière dont il passe à travers une vitre de voiture, le coup du parapluie pour s’accrocher au bus, la manière dont il passe le portail pour entrer chez le bad guy, ou encore le saut sur la rampe lumineuse qui est le point d’orgue de la fin du film, Chan multiplie les moments dingues pour le plus grand plaisir des spectateurs!

D’ailleurs, comme c’est une coutume dans ses films, le générique final nous présente toujours des scènes ratées, dans lesquelles on voit souvent l’acteur repartir sur une civière! Jackie Chan se donne toujours à fond dans ses films, et il en ressort toujours amoché! Comme lors de cette dernière scène où il glisse sur une rampe en descendant 6 étages, ce qui lui a occasionné de sévères brûlures aux mains! Mais ça ne l’empêchera pas de revenir pour d’autres films!

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Le clip de la semaine: SORNE – Ego Altar

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Morgan Sorne nous livre avec son projet SORNE un trip musical d’une inventivité impressionnante, baignant dans une atmosphère tribale totalement envoûtante. Usant d’une voix tout aussi impressionnante, Morgan Sorne s’avère être un artiste complet et atypique, qui nous offre une plongée dans son univers sonore d’une richesse rare! Et quand en plus son Ego Altar bénéficie d’une approche esthétique de cette qualité, on ne peut que plonger avec lui!

 

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Focus: Buster Keaton, le clown qui ne riait jamais

 

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Cette année, j’ai envie d’innover un peu, et j’écrirai de temps en temps des articles destinés à explorer de manière plus précise la carrière d’un acteur, d’un réalisateur ou d’un genre cinématographique… Ca se fera selon mes envies et mes inspirations, on verra bien ce que ça donne! 😉 Ca s’appelera Focus, et dans ce premier article, je vous invite à découvrir  l’inimitable Buster Keaton, génie comique absolu!!!

Quand on voit ou revoit un film de Buster Keaton, qu’il s’agisse de ses courts, de ses moyens ou de ses longs métrages, on est immédiatement frappé par la modernité qui s’en dégage. L’écriture ciselée de son humour, la précision millimétrée de ses gags, la poésie touchante de son personnage, la parfaite maîtrise de sa mise en scène, chaque élément de son cinéma se combine avec les autres avec une grâce et une aisance qui nous feraient croire que toute sa filmographie s’est faite avec une facilité déconcertante! Mais Joseph Frank Keaton Junior a travaillé sans relâche pour créer ce héros naïf pris à chaque fois dans une tourmente qu’il va s’évertuer à faire retomber!

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Traqué par une horde de jeunes femmes qui veulent convoler en noces dans Fiancées en Folie, en pleine course-poursuite avec son train dans Le Mécano de la Générale, pris dans une tempête dans Cadet d’Eau douce, son personnage aux noms multiples (souvent appelé  Malec ou Frigo) est à chaque fois une recréation d’un même schéma, celui d’un jeune homme naïf aux simples rêves d’enfants, obligé par la société ou sa famille à entrer dans un monde adulte dont il ne veut pas. Le personnage keatonien est, à l’instar de celui de Charlie Chaplin, une sorte de doux rêveur totalement déphasé par rapport au monde dans lequel il vit, et qui doit constamment lutter afin de (re)trouver sa tranquillité. Le physique svelte de Buster Keaton, qu’il met très souvent en opposition avec des personnages massifs (comme son père dans Cadet d’Eau douce), apporte un contraste visuel frappant, et augmente encore son statut de garçon pas encore devenu adulte. Keaton est toujours à la recherche du bonheur simple, et a toujours des difficultés pour le trouver, d’où son air perpétuellement blasé ou triste. Celui qui a rapidement été surnommé « l’homme qui ne rit jamais » est paradoxalement un maître dans l’art de nous faire rire!

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Mais on va rapidement découvrir que sous ses airs de gamin et sa stature peu imposante, se cachent des talents autrement plus impressionnants! C’est dans sa gestuelle et la parfaite maîtrise de son corps que Buster Keaton va étonner et créer des situations comiques véritablement impressionnantes! Ses premières participations dans les courts métrages de son ami Roscoe « Fatty » Arbuckle à la fin des années 1910 (il a débuté en 1917 dans Fatty Boucher) vont immédiatement dévoiler son talent inimitable, et son caractère virevoltant et aérien crée un contraste bénéfique avec la force imposante de Fatty! Le personnage de Malec va peu à peu gagner en autonomie, jusqu’à avoir droit à ses propres films à partir de 1920! La Maison démontable de Malec est le premier court consacré uniquement au héros keatonien, et reste à ce jour une pièce maîtresse de son oeuvre, avec une précision imparable dans la construction de ses gags, et un mélange de poésie et de folie véritablement impressionnants!

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Buster Keaton est un véritable athlète, capable de courir, sauter, grimper partout sans donner le moindre signe de fatigue! Qu’il saute d’un wagon à l’autre en terminant par une sorte de passement fluide, qu’il bondisse d’une falaise à l’autre en terminant par des saltos avant, qu’il effectue un saut de bras (raté!) du haut d’un immeuble, Keaton a toutes les capacités physiques d’un traceur, et le voir faire du Parkour avant l’heure dans ses films est un pur bonheur!

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L’avènement du cinéma parlant à la fin des années 20 lui sera pourtant fatal, lui qui avait mis des années à affiner son humour visuel si percutant, et qui se retrouve alors en total décalage avec l’offre hollywoodienne. Il est peu à peu mis à l’écart, et tombe dans une dépression tenace. On le recroisera furtivement dans Boulevard du Crépuscule (ou il jouera son propre rôle) ou Les Feux de la Rampe, dans lequel il joue aux côtés de Charlie Chaplin un vieux clown en fin de carrière…

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S’il n’a pas eu la reconnaissance qu’il méritait de son vivant, Buster Keaton a laissé derrière lui une oeuvre mémorable qui a été par la suite largement réhabilitée, jusqu’à faire de cet acteur-scénariste-réalisateur-cascadeur un emblème du cinéma muet, avec cette figure de l’homme qui ne rit jamais, capable de nous surprendre et de nous faire rire avec la même efficacité près de 100 ans après!!!

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Pour vous permettre de plonger davantage dans l’univers de Keaton, voici une analyse concise et ô combien enrichissante sur la mécanique de son humour! C’est signé Every Frame a Painting, et c’est vraiment bien foutu!

Je ne pouvais pas passer à côté d’un best of (allez deux!) des cascades réalisées par Keaton, et ce qui suit va vous prouver qu’il aurait été tout à fait à l’aise dans le monde du Parkour!

Et enfin, voici en intégralité La Maison démontable de Malec, une pépite du cinéma muet rempli d’une poésie absurde et à l’humour visuel parfait! A découvrir absolument! 🙂

 

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Les news de la semaine: Strange Tales

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Ca y est, les premiers clichés officiels de Doctor Strange viennent de tomber! Et le moins que l’on puisse dire, c’est que Benedict Cumberbatch s’est approprié le personnage du Sorcier suprême avec un mimétisme confondant! Entre réinterprétation moderne et respect pour l’essence même du magicien, les premières images sont très rassurantes quant à son implication dans le film de Scott Derrickson (Le Jour où la Terre s’arrêta, Sinister)! Accompagnées de quelques concept art révélateurs, notamment sur l’antre du Docteur, ces images continuent d’augmenter la portée de ce nouveau film Marvel, qui devient mine de rien l’un des projets les plus solides de 2016! Sortie le 26 octobre!

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On découvre également les premiers clichés officiels d’Assassin’s Creed, qui nous présentent l’excellent Michael Fassbender dans le rôle d’un descendant lointain d’un membre de la secte des Assassins, qui va par le biais d’une machine révolutionnaire, développer les souvenirs de son ancêtre Aguilar, et lutter contre l’ordre des Templiers. Il sera accompagné de Marion Cotillard, Jeremy Irons et Michael Kenneth Williams (Leonard Pine dans la prochaine série Hap and Leonard!). Ce film signé Justin Kurzel est prévu pour le 21 décembre 2016!

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Evidemment, on ne peut pas passer à côté de notre dose hebdomadaire de Deadpool! Après l’arrivée fracassante de la 2ème bande-annonce, de nombreux clichés du film de Tim Miller sont tombés, et nous présentent Wade et sa joyeuse bande de dégénérés! Avec Angel Dust, Ajax, Teenage Negasonic Warhead, et Colossus! Sortie le 10 février, faut vraiment que je vous le rappelle encore?

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Et comme on est à fond dans les photos, on poursuit avec de nouvelles images de la saison 2 de Daredevil! Bon, la 1ère fait vraiment peur, le masque n’allant pas du tout à Charlie Cox!!! Sinon on découvre Jon Berthal dans le rôle de Frank Castle (le futur Punisher!!!), ou encore la Française Elodie Yung dans le rôle d’ Elektra Natchios! Espérons que le changement de costume de Matt Murdock ne plombe pas cette saison, sachant tout le potentiel explosif qu’elle a avec ses nouveaux personnages! La diffusion devrait se faire courant avril.

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