Les Saïmiris ont eu la chance d’aller visiter KIMEO, la plus grande salle de Parkour de France, qui fait 515 mètres carrés! A priori, ils se sont plutôt bien éclatés sur toutes ces structures! 😉 Si ça vous tente, elle se trouve à Lyon! 🙂
Les Saïmiris ont eu la chance d’aller visiter KIMEO, la plus grande salle de Parkour de France, qui fait 515 mètres carrés! A priori, ils se sont plutôt bien éclatés sur toutes ces structures! 😉 Si ça vous tente, elle se trouve à Lyon! 🙂
José Rodriguez Dos Santos est l’un de mes écrivains favoris, et Furie divine est son 5ème roman a être traduit chez nous. Auteur de près d’une vingtaine de bouquins, le journaliste portugais voit pour l’instant une infime partie de son oeuvre trouver son chemin en France… Les publications ne respectent pas non plus la chronologie des roman, puisque Furie divine est le 4ème ouvrage de la série consacrée à Tomas Noronha, qui en compte pour l’instant 8. Il y a eu Codex 632 – le Secret de Christophe Colomb, La Formule de Dieu, O sétimo Selo (non traduit), puis donc Furie divine, qui a été suivi par L’ultime Secret du Christ, A Mao do Diabo (non traduit), La Clé de Salomon, et le tout récent Vaticanum sorti en avril 2017. J’attendrai un moment avant de le lire, puisque j’ai la collection en version Pocket! 😉
Alors qu’il a l’habitude de traiter de sujets historiques en dépoussiérant les mythes et en apportant un éclairage nouveau sur des vérités qui méritent d’être remises en question, José Rodrigues Dos Santos s’est attaqué en 2009 à une partie de l’Histoire moderne et tragique, en traitant du problème des attentats perpétrés par Al-Qaïda. Le bouquin est sorti récemment chez nous, mais il faut se remettre dans le contexte de 2009, où l’organisation terroriste était redoutée à travers le monde entier suite au 11-Septembre, avec Oussama Ben Laden toujours en vie. Le personnage du cryptologue Tomas Noronha allait donc se retrouver face à une menace à très grande échelle, et la course contre la montre afin de déjouer les plans criminels allait être tendue. Noronha retrouvait Frank Bellamy, un personnage haut placé au sein du FBI, qui a réussi à le persuader de mener l’enquête aux côtés de Rebecca, une agente aussi belle qu’intelligente.
La construction de ses oeuvres s’avère souvent identique, et on replonge avec plaisir dans ce mélange d’enquête moderne et de recherches historiques qui font la saveur de ses romans. Ici, l’intérêt du bouquin n’est pas tant la menace terroriste qui plane sur le monde, car c’est surtout un prétexte à creuser pour comprendre les méthodes d’Al-Qaïda. En parallèle de l’enquête de Noronha donc, on va découvrir le jeune Ahmed, et on va suivre son évolution, de ses 12 ans jusqu’à l’âge adulte. Le jeune garçon débrouillard du Caire va se retrouver propulsé dans des événements bien tragiques, et c’est toute cette logique d’embrigadement et de poids religieux que Dos Santos va nous livrer, de manière quasi-documentaire, afin de bien nous faire comprendre comment tout cela est possible.
Il va remonter aux origines du Coran, le livre saint de l’Islam, en nous révélant des secrets aussi énormes que simples. On entend souvent dire que les terroristes islamistes interprètent le Coran à leur manière histoire de justifier leurs actes; mais Dos Santos révèle que les versions modernes du Coran sont édulcorées afin d’atténuer toute la ferveur guerrière qui y est inscrite. Les justifications incitant à placer l’Islam au-dessus de la loi des hommes s’avèrent belliqueuses, et les terroristes ont pour but d’islamiser l’ensemble du monde, de gré ou de force. Et c’est bien ce qui est indiqué dans le livre saint… Tout comme il démystifiait la Bible dans L’ultime Secret du Christ, Dos Santos s’attaque au Coran dans Furie divine, avec un regard neutre qui s’applique avant tout à démontrer les faits historiques et les mensonges qui se sont accumulés au fil des siècles. Son but n’est aucunement de critiquer le livre, mais de démontrer comment il a été détourné, tout comme la Bible…
On va assister à des moments forts, comme la rencontre d’un jeune terroriste avec Oussama Ben Laden, dans une grotte perdue d’une montagne. On va découvrir comment la vie se passe dans un camp d’entraînement d’Al-Qaïda, et on va découvrir à quel point il est facile de fabriquer une bombe nucléaire! Dans ce contexte éminemment paranoïaque, il va falloir toute la maîtrise et les connaissances de Noronha pour éviter une catastrophe… Le seul bémol de ce livre, c’est qu’il s’appuie finalement beaucoup moins que les précédents sur la cryptologie, cette discipline de déchiffrage des codes. C’est ce qui procure un grand plaisir dans les bouquins de Dos Santos, et c’est dommage de mettre cela de côté dans celui-ci. Mais ça fait tout de même plaisir de retrouver ce Don Juan de Tomas, qui ne rate pas une occasion pour jouer au joli-coeur! Et ça fait froid dans le dos quand on voit comment fonctionne un groupe terroriste, et que l’on découvre pourquoi ils usent de méthodes si extrémistes…
L’excellente et surprenante nouvelle de la semaine, c’est l’ajout de Rosario Dawson au casting d’X-Men: the New Mutants! La célèbre Claire Temple, présente dans l’intégralité des séries Marvel/Netflix (la prochaine, c’est The Defenders le 18 août), a trouvé le temps de passer à la concurrence pour jouer Cecilia Reyes, une mutante capable de générer un champ de force. Et dans la vie civile, elle est médecin, Rosario Dawson prend donc du grade puisqu’elle joue une infirmière dans les séries Netflix! C’est en tout cas un ajout de grande qualité pour ce film qui devrait sortir le 13 avril 2018!
D’ailleurs, le metteur en scène Josh Boone a donné quelques précisions intéressantes sur la direction qu’il souhaite prendre avec ce long métrage: « Nous sommes en train d’écrire un film qui sera très semblable à un film d’horreur prenant place dans l’univers X-Men. Il n’y aura pas de costumes, pas de mauvais mutants. On essaie de faire quelque chose de vraiment différent de ce qu’il se fait habituellement. On va faire se rencontrer Stephen King et John Hughes dans ce film. »
« Cinq jeunes mutants sont détenus dans une base secrète dans laquelle ils devront apprendre à maîtriser leurs nouveaux pouvoirs. Ils devront également faire face aux pêchés qu’ils ont commis dans le passé. Ils ne seront pas là pour sauver le monde. Ils seront là pour se sauver eux-même. » Source
Une note d’intention qui donne bien envie d’en découvrir plus!!!
Plus on s’en rapproche, moins Spider-Man: Homecoming semble attractif… Ce ne sont pas ces 2 nouvelles affiches qui vont inverser la tendance… Elles semblent avoir été réalisées sans grande conviction, en respectant simplement le schéma habituel des productions Marvel… Utilisation similaire des couleurs, montage vite fait des personnages… On dirait que le graphiste a voulu terminer au plus vite. Bon, on ne jugera pas le film sur sa comm, et on attendra le 12 juillet pour voir si Tom Holland et Michael Keaton valent le détour! Et oui, l’omniprésent Tony Stark aussi…
Le projet Black Cat and Silver Sable de chez Sony à peine annoncé, on apprend déjà qui interviendra au niveau de la mise en scène! Ce sera Gina Prince-Bythewood (Le Secret de Lily Owens) qui sera en charge de mettre en image les aventures de la voleuse et de la mercenaire issues de l’univers de Spider-Man! Elle n’en sera pas à son coup d’essai dans le domaine super-héroïque, puisqu’elle est attachée à la réalisation du pilote de la série Cloak and Dagger de chez Marvel, prévue pour 2018!
L’acteur anglais Roger Moore est décédé ce mardi 23 mai, des suites d’un cancer. Il avait 89 ans. Il est mondialement connu pour avoir incarné le célèbre agent James Bond, prenant la relève de Sean Connery. Il commence sa carrière en 1945 dans Le Verdict de l’Amour d’Alexander Korda, où il tient un rôle figuratif. Ce sera le cas dans une dizaine de productions, puis il obtient le rôle principal dans la série Ivanohe en 1958-59. C’est une autre série, Le Saint (1962-69), qui achèvera de le rendre célèbre. Outre ce rôle de Simon Templar, il interprétera également Brett Sinclair dans Amicalement vôtre en 1971-72.
C’est en 1973 qu’il endosse pour la 1ère fois le role de James Bond dans Vivre et laisser mourir, et il retrouvera l’agent à 6 reprises: L’Homme au Pistolet d’Or (1974), L’Espion qui m’aimait (1977), Moonraker (1979), Rien que pour vos Yeux (1981), Octopussy (1983), et Dangereusement vôtre (1985). Il a également joué Sherlock Holmes dans le téléfilm Sherlock Holmes in New York (1976), on l’a vu dans le déjanté L’Equipée du Cannonball (1981), il a joué l’inspecteur Clouseau dans L’Héritier de la Panthère rose (1983), on l’a vu aux côtés de Jean-Claude Van Damme dans Le grand Tournoi (1996) ou encore aux côtés des Spice Girls dans Spice World (1997)! Et pour boucler la boucle, il a joué dans le téléfilm Le Saint de 2016…
En bref, j’ai vu Split de M. Night Shyamalan, qui est loin de l’excellente surprise qu’était son précédent The Visit! Si la performance de James McAvoy est sympa, le film reste trop bavard…
Sinon, l’air de rien, y a Twin Peaks qui a repris après 26 an d’absence!!! Et ça, c’est une sacrée nouvelle!!! Pour l’instant, 4 épisodes ont été diffusés sur un total de 18, et on retrouve les personnages emblématiques qui ont bien sûr pris un coup de vieux… Mention à la Femme à la Bûche, l’actrice Catherine E. Coulson, décédée en 2015, et dont l’apparition est très touchante…Pour l’instant, on retrouve la patte David Lynch, sans trop savoir où l’histoire va mener… On espère que l’accoutumance va aussi bien prendre qu’avec les mythiques deux 1ères saisons!!!
Sadeck Waff est un danseur hip-hop qui aime jouer avec les reflets, et ce depuis plusieurs clips. Pour ce Géométrie variable n°2, il s’associe à sa fille Neylia, et leur performance mêle géométrie et poésie de manière efficace!
Cela faisait un moment que je n’avais pas jeté un oeil aux aventures récentes de Spidey, et ces retrouvailles s’avèrent plutôt sympathiques. Il faut dire que dans ce mensuel All-new Spider-Man, on a droit à 3 versions du Tisseur! Il y a Peter Parker, le « vrai » Spider-Man; Miguel O’Hara, le Spider-Man 2099; et Miles Morales, l’Ultimate Spider-Man!
On commence par Amazing Spider-Man 19, qui voit Peter dans une situation délicate: Jay Jameson, le père de J. Jonah Jameson, est sur le point de mourir, et un traitement révolutionnaire pourrait lui permettre de rester en vie. Mais Peter a de mauvais soupçons sur ce produit, et il dissuade Jay de l’utiliser, contre l’avis de Jonah. May Parker, qui est en couple avec Jay, ne comprend pas pourquoi Peter refuse le traitement de New U Technologies… Dan Slott nous livre un récit intimiste intéressant, avec en arrière-plan la présence funeste du Chacal, un bad guy important dans la vie du Tisseur. Le Caïd est également présent, et Spidey se retrouve tiraillé, comme d’habitude, entre sa vie privée et son côté super-héros. Il est d’ailleurs physiquement tiraillé entre les 2 lors d’une mission de sauvetage. Slott poursuit son travail de restructuration de l’univers du Tisseur, chantier qu’il exerce depuis des années!
On passe ensuite en 2099 avec Peter David, qui voit Spider-Man mettre sur pied une opération de sauvetage destinée à sauver Captain America (alias Roberta Mendez dans ce futur). Elle est aux mains du S.H.I.E.L.D., qui est manipulé par J. Jonah Jameson! Son souhait est de se venger de Spidey suite à tout le mal qu’il lui a causé, mais les apparences sont bien trompeuses… Spidey a un costume plutôt classe, et il fait équipe avec Hercule, Daredevil, Hulk, Ravage et d’autres afin d’investir le S.H.I.E.L.D. et de récupérer Cap! Et on a droit à une apparition de Deadpool 2099!
On termine par la meilleure série du magazine, Spider-Man! Elle est consacrée au jeune Miles Morales, issu de l’Univers Ultimate et qui a échoué sur la Première Terre. Avec ce personnage, Brian M. Bendis revient aux fondamentaux adolescents du héros arachnéen, en y ajoutant une touche sociale avec les origines latinos et africaine du personnage! Le résultat est vraiment excellent, et ce personnage que je côtoie dans la revue All-new Avengers est l’un des plus captivants du moment! Son rôle dans Civil War II va d’ailleurs s’avérer crucial, et dans ces 2 épisodes, il va croiser la route de Jessica Jones et Luke Cage. Ce qui est fait avec beaucoup d’humour d’ailleurs, Bendis mettant en avant la notoriété de Cage face à celle, bien plus relative, de son épouse Jessica. C’est vraiment frais, prenant et bien dessiné, grâce à Nico Leon. Le costume de Spidey est excellent, l’utilisation de ses grands yeux globuleux est géniale, et la manière dont il est balancé dans la guerre civile (tout comme Nova et Miss Marvel) est très intéressante. Ces jeunes vont être liés à quelque chose qui les dépasse, et quand les anciens héros ont l’habitude de se taper sur la gueule, les jeunes remettent cet état de fait en question. C’est une très belle façon de prendre du recul par rapport aux personnages et aux situations, et ça amène une nouveauté rafraîchissante!