Fast & Furious X (Louis Leterrier, 2023)

Aller voir un film de la saga Fast & Furious, c’est accepter un niveau de suspension d’incrédulité allant bien au-delà de la dose habituellement requise. On sait depuis 2009 que la saga place ses enjeux familiaux et anti-gravitationnels au centre de l’équation, dans un déferlement de gomme sur asphalte, de bimbos pimpées et de séquences automobiles WTF. La machine était bien huilée depuis 10 films, se permettant même des spin-off et capitalisant sur l’attrait de stars multiples et successives au gré des épisodes, se la jouant MCU avec des morts et des résurrections n’ayant finalement plus aucune logique, mais l’ensemble devant être pris pour ce qu’il est, à savoir un spectacle racé et pyrotechnique, on acceptait la totalité de ces partis-pris sans se prendre la tête.

Qu’est-ce qui explique la sortie de route de Dom Torreto que l’on se prend en pleine face aujourd’hui? Les causes sont multiples, et on va tenter de les répertorier afin de saisir l’ampleur des dégâts… Déjà, il y a la grève des scénaristes ayant actuellement lieu aux Etats-Unis, et… Ah non, on me signale que le processus d’écriture du film n’a pas été impacté par l’arrêt de la Writers Guild of America, puisqu’elle vient à peine de démarrer ^^ En tout cas, l’excuse serait tombée à point, c’est dommage. On commence par un énième barbecue dans le jardin afin de mettre en avant l’importance de la famille, un classique de la saga qui commence tout de même à devenir sacrement pesant, mais on y reviendra. Evidemment, dès que tout semble aller sur de bons rails, un événement va tout faire basculer, et c’est justement ce grain de sable que l’on attendait après s’être farci ces poncifs familiaux et ces dialogues insipides.

Comme j’avais presque toujours apprécié les films composant cette saga, je pensais que le système en roue libre fonctionnerait toujours et que ce sympathique bordel partant dans tous les sens serait comme presque à chaque fois maîtrisé d’une certaine manière. Pourtant, cette fois-ci, tout est vraiment parti en couilles… Il va bien falloir parler de la « prestation » de Jason Momoa, élément qui initialement m’avait bien laissé croire que la saga pourrait enfin revenir à un niveau équivalent à l’opus 6, mais il n’en sera finalement rien. Pour la faire courte, si j’avais eu envie de revoir Jack Sparrow, je me serai refait les Pirates des Caraïbes. Le personnage de Dante (machiavélique, infernal, diabolique, vous l’avez? Oui c’est très subtil comme choix de nom) est un plagiat pur et simple de Johnny Depp, et Jason Momoa perd toute crédibilité dans ce film. C’est un calvaire de le retrouver au fil des séquences, et il aurait toute sa place dans un film du MCU en terme de ratage de bad guy.

Louis Leterrier. C’est dommage que Justin Lin ait été absent, parce qu’au moins il troussait des séquences d’action ayant une certaine esthétique et un souffle agréable, tandis qu’ici, on subit chaque séquence s’avérant plus débile que la précédente, dans un maelstrom de bruit qui n’en finit plus. Si on résumait ce film simplement, ce serait un bruit continu venant vous vriller le crâne durant 2h21. Les séquences de combat au corps-à-corps sont illisibles et ne présentent aucun intérêt, et les séquences de poursuites automobiles n’ont aucune saveur… Quand on voit la séquence de Rome et qu’on la compare avec celle de Florence signée par Michael Bay dans le génial 6 Undergound, on se dit qu »on a atteint le fond du panier avec Fast and Furious X… Michael Bay est parvenu à allier humour et action ébouriffante avec une classe ultime, dans son film qui se veut un décalque de la saga Fast en tellement plus abouti! Je vous conseille donc d’aller (re)voir 6 Underground au lieu de tenter ce Fast X

A un moment, au vu des actions effectuées durant les poursuites, on se dit que si Newton pouvait se retourner dans sa tombe, il le ferait tellement vite qu’il pourrait alimenter une éolienne… Il n’y a plus aucun respect pour la physique de base et pour la gravité, ce qui peut être marrant de temps en temps, mais là on confine au sublime si le but est de pulvériser la logique. Après j’ai peut-être mal compris le film, et qu’il s’inscrit dans un schéma de post-Nouvelle Vague… J’ai complètement zappé de parler de Baboulinet! Personnellement je trouve que ses meilleures prestations dans cette saga, on les trouve surtout chez Mozinor, donc n’hésitez pas à aller voir sur YouTube 😉

Les liens familiaux, allez. Au fil de la saga, on a découvert à chaque chapitre le frère caché, le fils caché, le neveu du petit-fils de l’oncle par alliance du cousin germain caché, et le procédé est aussi interminable que les morts et résurrections à répétition. Franchement, on ne sait même plus qui est qui et quels sont leurs liens tellement il y a de monde et que c’est capillotracté, et surtout on commence à vraiment s’en foutre… Bref, vous aurez encore droit dans cet épisode à des fils de, soeur de ou autre, et on ne peut pas dire que ça rehausse le scénario, si scénario il y a eu un jour (la grève tout ça).

On a donc des dialogues insipides, des scènes d’action foutraques, mais également des associations totalement débiles. Le méchant d’un épisode devient le gentil du suivant, on fait pareil pour un autre, wahou niveau psychologique on sent qu’il y a eu du travail au niveau de l’écriture, on croirait presque du Pizzolatto. (la grève tout ça). Bon on ne va quand même pas se quitter sur toutes ces mauvaises choses, parce qu’il y a 1 ou 2 éléments surnageant dans cette mer d’hébétude, à commencer par John Cena, notre Marine préféré! Son rôle est bien cool et il offre un second degré bienvenu, et ça fait juste plaisir de voir ça! On a bien évidemment l’incontournable Jason Statham, qui là encore fait plaisir à retrouver, même s’il est purement anecdotique dans le film… Et je crois bien que c’est tout, donc sur 2h21, ça fait cher le kilométrage…

En plus, pour un film qui devait conclure la saga et qui selon les rumeurs serait le début d’une trilogie censée conclure la saga, on sent que le filon n’est pas près de se tarir. Mais de manière plus globale, entre un Gardiens de la Galaxie 3 à moitié génial et à moitié atroce, un Ant-Man et la Guêpe : Quantumania horrible, on sent vraiment qu’en terme de blockbuster, on est vraiment tiré de plus en plus vers le bas, et que ce bon vieux John Wick : Chapitre 4 ressemble vraiment à une superbe anomalie crépusculaire dans ce paysage pathétique du blockbuster contemporain…

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Les news de (début de) la semaine : Freaky

Après The Rock, Batista, John Cena ou encore Roman Reigns dans une moindre mesure (avec les 3/4 de ces noms présents dans la saga Fast & Furious ^^), c’est un nouveau membre de la WWE qui va toucher au 7ème art, puisque Seth « Freakin' » Rollins est actuellement en plein tournage sur le plateau de Captain America : New World Order (gageons que Kevin Nash et Hollywood Hogan doivent être furieux de ne pas en être! ^^)! Colby Daniel López travaille à la WWE depuis 2010 et est notamment passé par la case NXT, mais il est surtout connu pour sa carrière au sein du Shield et pour ses multiples règnes en tant que champion : 2 fois champion, 2 fois champion universel, 1er champion de NXT, 2 fois champion intercontinental et j’en passe.

L’annonce de sa participation à ce blockbuster s’avère surprenante, puisqu’il est toujours très actif au sein du show Raw et qu’il est même en lice pour le championnat World Heavyweight, la finale du tournoi ayant lieu ce samedi 27 mai! Il y affrontera A.J. Styles dans un match s’annonçant prometteur, mais est-ce que cette parenthèse cinématographique pourrait influer sur le résultat en faveur de Styles? Il ne faudrait pas que Freakin se disperse trop s’il veut être un champion sur la durée 😉

En tout cas, cela apporte une note positive au film de Julius Onah, qui n’est pour le moment pas des plus attendus… Il faut dire que la série Falcon et le Soldat de l’Hiver qui constituait une intro à ce film s’est avérée bien poussive… Même si on ne connaît pas précisément le rôle de Rollins, on sait qu’il fera partie de la Société du Serpent, l’une des nombreuses organisations ayant tenté de supprimer Captain America (Steve Rogers) au fil des décennies dans le petit monde des comics. Cette fois, la structure tentaculaire tentera de mettre définitivement un terme aux agissement du nouveau Captain, alias Sam Wilson. On attendra donc avec curiosité d’assister à la prestation de Seth Rollins, même si on ne connaît ni son rôle ni l’importance de celui-ci dans ce 4ème volet. Sortie prévue pour le 1er mai 2024.

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Les Gardiens de la Galaxie 3 (James Gunn, 2023)

James Gunn sera donc parvenu à finaliser sa trilogie avant de partir remanier de fond en comble le catalogue super-héroïque de la Distinguée Concurrence. Fort du succès du premier film en 2014, puis de sa séquelle en 2017, il s’était également fendu d’un épisode intermédiaire des plus oubliables avec un téléfilm pour Disney +, histoire de capitaliser sur la vanne de Kevin Bacon. Mais aujourd’hui, le véritable 3ème opus est de sortie, et va concentrer à la fois ce qui se fait de mieux et ce qui se fait de pire chez Marvel, pour un voyage de 2h30 afin de sauver une énième fois le monde, ou l’univers, ou le Multivers je ne sais plus…

Cette critique risque de vous spoiler quelques éléments, donc je vous invite à ne pas la lire si vous souhaitez vraiment rester vierge de tout élément du film ^^ L’exercice de la critique sans spoil est vraiment très compliqué, et ne permet pas toujours de développer les raisons faisant que telle oeuvre soit agréable ou non. Je vais minimiser au maximum les révélations, en donnant parfois quelques indications me semblant nécessaires sans quoi tout serait vraiment trop nébuleux (et non ce n’est pas un jeu de mots). Tout commence de manière paisible sur Knowhere, avec une scène d’intro qui fonctionne plutôt bien, mettant en scène Rocket de manière classe tout en optant pour une certaine retenue. On a l’impression que James Gunn a envie d’opter pour une approche moins tapageuse, ce qui s’avérera vrai dans une certaine mesure. Mais aussi totalement faux dans une autre…

Le scénario va axer sa colonne vertébrale sur le personnage de Rocket, et là encore, ce n’est pas un mauvais jeu de mots. On va enfin en apprendre davantage sur son histoire et ses origines, James Gunn scénariste ayant vraiment à coeur de développer le potentiel de ce récit tragique et tenu secret jusque-là. A l’instar d’un Wolverine qui en comics aura mis du temps à révéler son passé, on va enfin connaître le cheminement l’ayant mené à devenir ce petit guerrier cynique et ravageur. Et le peu que l’on puisse dire, c’est que toute cette partie, dont les informations seront données avec parcimonie, est une réussite totale! Visuellement, le résultat est prenant, mais surtout, ça prend aux tripes émotionnellement! Et un Marvel qui nous prend par les sentiments, on n’avait plus vu cela depuis… Ben depuis bien trop longtemps! On sent l’attachement de James Gunn pour les créatures cabossées et les freaks, et cette sincérité doublée d’un réel talent dans l’écriture intimiste font que l’on ne peut qu’être déboussolé par cette histoire.

Mais là où un John Wick : Chapitre 4 de 2h49 aurait largement pu durer 2h de plus tant sa construction totale était incroyable, James Gunn va se perdre dans un mélange de volonté de satisfaire tout le monde et un cahier des charges marvellien à respecter coûte que coûte. Résultat : Les Gardiens de la Galaxie 3 est une créature hybride morcelée entre une véritable force émotionnelle et de trop longs passages boursouflés remplis de CGI et d’humour vraiment trop lourd… Avec une seule et unique exception, j’ai nommé Drax! Mais procédons par ordre. Avec une durée au compteur de 2h30, Les Gardiens de la Galaxie 3 prend l’eau à de multiples endroits, et il aurait mérité d’être amplement taillé à la serpe pour parvenir à rester centré sur cet excellent point de départ. Mais en l’état, il va partir dans plein de directions et de tonalités différentes, qui vont contribuer à abolir considérablement la force de caractère que sa proposition initiale apportait. En concentrant son histoire sur 1h45-2h, il aurait nettement gagné en impact et ne se serait pas perdu dans toutes ces circonvolutions inutiles…

Je mentionnais Drax car de l’ensemble de la saga, il est sans conteste l’un des personnages les plus emblématiques et surtout les plus drôles, mais dans un registre bien personnel et permettant de diluer l’humour MCU standard qui devient lui de plus en plus insupportable. Pourquoi jouer à ce point sur des éléments aussi dramatiques, et venir contre-balancer sans aucune raison avec des vannes d’une pauvreté aussi navrantes??? Je ne comprends franchement pas, mais Drax fonctionne comme une anomalie permettant de minimiser ce carnage, grâce à une véritable maîtrise humoristique de son interprète Dave Bautista, qui à l’instar d’un Ryan Reynolds adepte du surjeu nuancé et de l’ellipse, apporte de véritables notes d’humour, de celles qui nous font vraiment nous marrer en salle! Il est l’un des piliers de cette saga, et il possède quelques dialogues également avec Mantis qui s’avèrent réussis. Mais le reste de l’humour n’est pas du tout à la hauteur, et pire, vient constamment dénaturer les éléments plus émotifs et adultes proposés par le script. Comme s’il fallait s’excuser d’être aussi sérieux en imposant à tout prix un peu de légèreté, quitte à la passer au forceps… Ce qui n’est pas du tout la meilleure idée. D’ailleurs, petit détail en passant, mais James Gunn a vraiment un problème avec tout ce qui est corps passant dans un autre, enfin vous verrez bien ^^

Je suis obligé de vous parler de Warlock, puisqu’il est teasé depuis tellement longtemps. Déjà, le choix de Will Poulter pour incarner ce super-héros à la force cosmique me paraissait sur le papier une très mauvaise idée, et elle se trouve confirmée à l’écran, d’autant plus que le personnage est intégralement massacré dans ce film. Il incarne une certaine idée de la grandeur et de la puissance dans le monde des comics, et dans Les Gardiens de la Galaxie 3, il est juste… Ca… A tel point que je me pose une question essentielle : est-ce que j’ai préféré le personnage de M.O.D.O.K. dans Ant-Man et la Guêpe : Quantumania? Je n’ai pas encore assez de recul pour avoir la réponse…

J’avais complètement oublié qu’un autre personnage apparaissait dans ce film, en la personne du Maître de l’Evolution! On ne pourra pas dire que c’est une franche réussite là non plus… Ce simili-Samuel L. Jackson version low cost est une redite totale du Kang d’Ant-Man et la Guêpe : Quantumania, avec une chute vertigineuse face au charisme de Jonathan Majors, et constitue un ratage intégral tant l’acteur Chukwudi Iwuji est mauvais dans le rôle… Il n’est certainement pas aidé par une approche extrêmement manichéenne, mais quand on a déjà connu un bad guy de la carrure de Thanos capable d’éliminer la moitié de l’univers tout en parvenant à captiver les spectateurs, on touche le fond du panier ici avec cet individu qui n’est rien d’autre qu’un psychotique totalitaire complètement dément et narcissique. Rien de très neuf dans la galaxie Marvel, mais au moins, Jonathan Majors incarnait une certaine puissance dans un état d’esprit déréglé…

Dans Les Gardiens de la Galaxie premier du nom, il y avait une forme de désinvolture qui confinait au génie, et que Marvel n’a eu de cesse de tenter de retrouver de manière artificielle tout au long des métrages ayant suivi. A l’époque, il y a eu une conjonction de planètes et une liberté de ton qui ont fait de ce film la géniale anomalie qu’il constitue, et qui appartient clairement au passé. Le choix des musiques qui claquent, la mise en scène inspirée, l’alchimie entre tous les personnages… On retrouve ici et là quelques bribes de ces éléments, mais on les sent par moments sincères, mais trop souvent artificiels, à l’image de ces séquences étirées proposant des combats qui doivent juste en mettre plein la vue, au lieu de se focaliser sur un véritable point de vue… Il manque beaucoup de choses à ce 3ème opus, qui paradoxalement propose certainement l’un des récits les plus poignants de toute la trilogie. La manière dont Gunn gère ces parties est impressionnante, et en font un film dans le film qui vaut le coup d’oeil juste pour ça. Dégraissé de toute cette foire pyrotechnique et de tout ce matracage visuel, Les Gardiens de la Galaxie 3 aurait constitué une sublime fin de trilogie…

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Les news de la semaine : Kraven bad-ass???

Le trailer de Kraven le Chasseur a été présenté au CinemaCon, et une information importante a été donnée sur ce projet qui n’avait pas de quoi enthousiasmer les foules : le film sera classé R… Sony aurait-il enfin compris après les ratages du Symbiote et du vampire tout public qu’il fallait durcir le ton pour rester fidèle au matériau de base?? On se souvient de l’annonce initiale du classement R de Venom, avant un retournement de veste rapide. Cettte fois, l’annonce se fait juste avant la présentation du trailer, donc il y a de fortes chances pour que ce soit bien officialisé! Maintenant, la problématique reste toujours la même, à savoir quel est l’intérêt d’un film sur un méchant de Spidey sans Spidey?

On surveillera quand même la sortie calée au 4 octobre, avec un sourcil légèrement levé.

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Le clip de la semaine : Greg Toussaint : Je risque la prison!

J’avais découvert l’humoriste Greg Toussaint fin d’année dernière, et j’avais direct accroché avec son humour trash et ses punchlines percutantes! Il a publié le mois dernier une vidéo intitulée « Les trans*xuels éduquent nos enfants », dans laquelle il dénonce les dérives idéologiques du mouvement LGBT, qui intervient dans les écoles pour parler de sexualité aux enfants. Certes Greg n’y va pas de main morte, mais il fait bien la distinction entre les LGBT et les militants, histoire de ne pas être binaire, ce que ses détracteurs évitent de préciser. Quel est l’intérêt pour des enfants de savoir qu’untel ou unetelle vit une relation polyamoureuse ou qu’il ne se sent ni homme ni femme? Si les intervenants avaient été hétérosexuels et avaient évoqué leur vie amoureuse, ça m’aurait semblé tout aussi déplacé.

Chacun vit sa vie amoureuse comme il l’entend, avec le ou les partenaires de son choix et en respectant ses préférences sexuelles. Mais quel est l’intérêt d’aller étaler ça devant des gamins qui ont encore une conception toute naïve de l’amour, et qui ne conçoivent pas encore la sexualité? On dirait qu’on veut leur ôter toute cette part d’innocence qui fait partie intégrante de leur évolution psychique, et je pense clairement que ce n’est pas bénéfique. Je vous laisse juger avec cette vidéo, et je vous mets ensuite la plus récente, dans laquelle il annonce que suite à cela, il risque de passer au tribunal car il est attaqué par une association le taxant d’homophobie. Je vous laisse vous faire votre avis, en tout cas je partage pour soutenir Greg !!!

 

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