Une fois n’est pas coutume, on a droit à une analyse très intéressante de Georges, qui s’attaque à la culture du vide et à sa médiatisation de personnes qui deviennent connues pour… Ben pour rien en fait. Les réseaux sociaux nous poussent dangereusement vers une dystopie à la Idiocracy, et sa manière de décortiquer ce phénomène pour comprendre sa finalité, ça fait du bien. Et ce qui peut paraître de prime abord innocent et juste abêtissant en révèle beaucoup sur le fonctionnement de notre monde, et sur notre propre acceptation de cette zombification. Je vous laisse vous faire votre propre avis 🙂